FuriousDubois - Chapitre 1 - La Lettre De Poudlard. Furious Dubois (en hommage au youtubeur Furious Jumper) est né le 20 juin 2032 après son frère jumeau Jordan. Il est le dernier fils et le dernier enfant de Manon et Olivier, il est le petit frère de Abraham, Theodore, Mary, les triplés Sitka, Denahi et Kenai, Flavie, Maggie, Maxime Chapitre7 : Un amour naissant et une vengeance débutant Pov'Normal Lucy et Erza accompagnèrent Wendy dans sa nouvelle école et partir à Fairy Académie. Voilà maintenant ça fait trois mois qu'elles sont ici et c'est les plus belles années de leur vie ! Les vacances d'été ne vont pas tarder à débuter et Erza est devenue la vice-présidente du Ilest plutôt mignon : grand, brun, les yeux noisettes, coiffé brosse, et bien habillé. Il sort les poubelles de chez lui. Je suis trop occupé de le regardé et je ne me préoccupe pas de savoir se qu'il y a devant moi. Je n'ai pas vu ce petit morceau de trottoir qui resort du passage. Et bam, je tombe. Le garçon courut vers moi, et me dit : VictorCreed alias Dent de Sabre (ou Sabertooth en V.O.). Dent de Sabre est un homme de mains de Magneto. Il attaque Wolverine et Malicia, mais ils seront secourus par Cyclope et Tornade. Puis il retourne voir son patron pour le lui dire, en lui montrant la plaque de Logan. Plus tard, il sera là quand Magneto fera muter de force le Sénateur Kelly. Il essaiera de le rattraper lorsqu'il s Chapitre12. La situation est plutôt tendue entre Charlotte et mon frère. Il faut dire qu’elle n’y est pas allée de main morte en lui disant ses quatre vérités devant nos parents. Dire devant ma mère qu’il la traite de béluga, c’est-à-dire, de baleine, l’a mis plus que mal à l’aise. Voilà mon Armand descendu de son Unmail comme une bouteille à la mer. D'ordinaire, l'écrivain Pierre-Marie Sotto ne répond jamais aux courriers d'admirateurs. Mais cette Adeline Parmelan n'est pas une " lectrice comme les autres ". Quelque chose dans ses phrases, peut-être, et puis il y a cette épaisse et mystérieuse enveloppe qu'elle lui a fait parvenir - et qu'il n'ose pas ouvrir. Entre le prix Goncourt et la jeune 7ai0EsQ. Doudou-Lapin, le petit frère de Lili-Lapin, n’est pas comme les autres il a grandi et pourtant on dirait que c’est encore un bébé. Critiques 4, citations, extraits de Un petit frère pas comme les autres de Marie-Hélène Delval. Arraché manu militari de son lieu de travail Comores Telecom pour être roué de coups jusqu’à perdre connaissance, il a accepté de faire un … lililapin a un gros souci son petit frère doudoulapin a beau grandir, on dirait qu’il reste un bébé. Une fiancée pas comme les autres est un film réalisé par Craig Gillespie avec Ryan Gosling, Patricia Clarkson. Dans la famille royale, on ne fait pas les bébés comme les autres. Un enfant pas comme les autres est un film réalisé par Menno Meyjes avec John Cusack, Bobby Coleman. Le petit frère du gouverneur d’Anjouan est passé à tabac par les forces de l’ordre à Anjouan. Pour mes autres grossesses, je n'ai pas ... Mon grand a eu un cadeau à la naissance de son frère. Aristote fonde vers -335 sa troisième école, le Lycée, sur un terrain loué Aristote est un métèque, il n'a donc pas le droit à la propriété [n 4] Cette petite salope sait qu’elle est une jeune femme au corps très désirable. Qui sommes-nous ? Le Malinois est un chien de travail remarquable, aujourd’hui devenu une star à l’armée, dans les concours de ring et les différents corps, comme la gendarmerie, la Police…. Scène suisse Ma bibliographie Recherche. Frère et soeur dans Un enfant pas comme les autres, John et Joan Cusack le sont aussi dans la vie. Delval Marie-Hélène 1944-.... Un petit frère pas comme les autres / Une histoire écrite par Marie-Hélène Delval ; illustrée par Susan Varley. Nous avons fini l'histoire, et nous nous entraînons à raconter l'histoire à haute voix. Accueil / Forum / Psychologie / Famille pas comme les autres. Les recherches qui ont mené à cet article poeme deces soeur, perdre un frère, lettre a ma soeur décédée, perdre son frere, perdre une soeur, condoleance pour le décés dun frère, poème pour un frère décédé musulman, seour sofonie de radio lumiere, texte sur un patient qui va mourir, titre de poëme pour un frère décédé, mon frère vient de mourir, lettre pour un … À la fois chef d'État et supportrice déchaînée, Kolinda Grabar-Kitarovic a de grandes ambitions pour son petit pays. Ce n’est pas un chien comme les autres. Un petit frère pas comme les autres, Marie-Hélène Delval, Marie Flusin, Marie Flusin, Marie-Hélène Delval, Bayard Jeunesse. Institut suisse Jeunesse et Médias. Très populaire, il reflète un effet de mode qui peut malheureusement lui nuire, bien que j’apprécie énormément cette race. Accueil; Qui sommes-nous? Une fiancée pas comme les autres est un film réalisé par Craig Gillespie avec Ryan Gosling, Patricia Clarkson. Dans la famille royale, on ne fait pas les bébés comme les autres. Livres Un petit frere pas comme les autres . The Death of Love; Un Petit Frère pas comme les autres; Hérisson & Ourson; Le Bonhomme de Neige; Petit Coq et le maïs bleu Les recherches d'Animène et Miranda se déroulent sur quatre chapitres entrecoupés par trois "cahiers techniques" qui approfondissent un ou plusieurs thèmes abordés dans le chapitre qui précède. Je me trimballais toute la journée avec mon petit pot de colle pour faire ... qui qualifie son défunt frère d'"acteur ... pas comme les autres ! Thèmes abordés Handicap trisomie. Ce film compris, ils ont figuré dix fois au même générique. La démarche d'Aristote est à l'opposé de celle de que le philosophe français entame sa réflexion philosophique par un doute méthodologique, Aristote soutient au contraire que nos capacités de perception et de cognition nous mettent en contact avec les caractéristiques et les divisions du monde, ce qui n'exige donc pas un … Le petit frère du gouverneur d'Anjouan est passé à tabac par les forces de l'ordre à Anjouan. Genre Proposé par nathcez. Car son petit frère Doudou-Lapin n'est pas comme les autres. la présidente croate a été traitée de la plus grossière manière lors de la remise de coupe du monde elle a été la dernière, et en toute fin, à se faire protéger d'un parapluie. Elle doit aller en classe mais n’est pas très sérieuse, elle demande de l’argent à son grand frère mais il sait bien qu’elle taxe mais ne rembourse jamais. Un petit frere pas comme les autres ed2003, Marie-Hélène Delval, Susan Varley, Bayard Jeunesse. Cette petite salope sait qu'elle est une jeune femme au corps très désirable. Auteur Delval, Marie-Hélène. Synopsis David Gordon est auteur de science-fiction. "Un Petit Frère Pas Comme Les Autres" de Marie-Hélène Delval/ Susan Varley Bayard Poche Accès au portail Accueil de l'école. 142 réponses à Education, comportement le malinois est-il un chien comme les autres ? de Marie-Hélène Delval, Marie Flusin chez Bayard Jeunesse Collections Les belles histoires Paru le 08/01/2020 Broché 32 pages A partir de 4 ans € Disponible - sous 3 à 6 jours ouvrés Marie Flusin Quatrième de couvertureLili-Lapin a un gros souci son petit frère Doudou-Lapin a beau grandir, on dirait qu'il reste un quand les autres enfants se moquent de lui, ça la met en colère. Comment l'aider à faire des progrès, ce petit frère qui pousse de travers et qui aime tant les câlins ? Maison des Green 29 Juin 13h24 Pvd Avalon Avalon mhhmpmff ... Pouhaaaa j'ai un des ses mal de tête ... bon je vais peut-être me lever , un peu a droite encore un-p Bouuuuuuuum ! Avalon haaa c'était peut-être unpeut trop à droite ... -Blasée- Et la d'un coup , que tu sais pas comment ils sont arrivée t'as ta s½ur et ton frère mort de rire en plein milieux de ta chambre –' Hailey hahahahahahahaha ! T'as vue Dixon elle est pire que moi au reveille !! Haha !Chris hahahaha j'avoue y a du niveau quand meme ! Narrateur externe Toujours dans la chambre de la jeune demoiselle , la s½ur et le frère riai du reveille d'avalon. Avalon Et sinon un bonjour ça vous dirai ? les deux grands arréterent de rire et aida Avalon à ce lever ... Chris mmh oui salut , bien dormi ? Dit-il en prenant sa s½ur dans les brasAvalon oui mais j'ai un de ces male de tête pouahhh une turie ! Et vous ?Hailey - en lui donnant un medicament- tiens prends ça. Et en meme temps chanter le génerique de Bob l'éponge hmmm ...Avalon oh non j'ai pas recommancée ! Dit-elle en faisant la moue ...Chris Ha si ! C'etait mortel ! dit dixon en ce moquant Avalon lui lençat un regard des plus glacial , et sortit de sa chambre pour aller prendre son petit-dèj . Même s'il etait l'apres-midi comment ce passer des petits panckakes de sa grande s½ur chérie adorée ? Éclipse de 2h49 Parc Mirand Skate Park corse Ajaccio La petite Bande Avalon , Hailey , Chris , Karter , Mich , Kelly , Dixon , Peter et Wade c'étaient retrouvés au Skate-Park pour parler ... Mich Salut , Salut ! Dit-elle avec un immense sourire en prenant sa meilleure amie dans les brasHailey Mon amour ! Oh tu m'as manquée depuis hier ! HahahahahaChris salut les gars ! En faisant des tcheks .Kelly Rhum rhum !Wade oh kel' il allait dire les filles tinquiète pas !Karter bon vous pouvez me laisser passer pour que j'aille dire BONJOUR à ma meilleure amie !Peter Hum laisse moi réfléchir ! NAAAAAAAAN !Avalon Ho fait pas chixr Peter ! Dit-elle en le poussant ! KARTEEEEEEEEER !Mich Pxtin Peter tu peux pas fair attention !Hailey Mich mes Oreilles !Kelly Wade fait attention tu viens de me pousser ! Dit kelly en s'écartant ... Le problème c'est qu'il y avait une flaque de boue accose des arrosoirs automatique ... ... HAAAAAAAAAAAAAAAAAAA ! Splashhhhhhhh ! Avalon Ho mxrde , mxrde , mxrde ! Désolée , on a pas fait exprés ! Un ami ma poussée que j'ai repoussée que il a marché sur le pieds d'une amie qui elle a criée et que son amie c'est décalé et qui a poussé un ami qui t'a poussé et ... ... Wooow respire ! Dit l'inconnu en la coupantAvalon Désolé. elle ragarda les deux jeunes garçons et diriga son regard vers le bouclée ... Du coté de la bande Mich elle a une touche !Karter Chuuut ! dit sa s½ur en chuchotant en se dirigeant vers sa meilleure amie... Et voilà la petite routine de la Bande ... éclipse de 15 min Wade Alors sweat-shirt une touche pour le bouclée ?Avalon Mais n'importe quoi toi ! En plus on le reverra jamais de toute façon .Mich et toi karter ? Karter ne repondit rien et repensa au regard de liam , il était grand , brun , yeux marron et il avait l'ai d'avoir son age ... Flash-back Pvd Avalon Kelly Wade fait attention tu viens de me pousser ! Dit silver en s'écartant ... Le problème c'est qu'il y avait une flaque de boue accose des arrosoirs automatique ... ... HAAAAAAAAAAAAAAAAAAA ! Splashhhhhhhh ! Avalon Ho merde , merde , merde ! Désolée , on a pas fait exprés ! Un ami ma poussée que j'ai repoussée que il a marché sur le pieds d'une amie qui elle a criée et que son amie c'est décalé et qui a poussé un ami qui t'a poussé et ... ... Wooow respire ! Dit l'inconnu en la coupantAvalon Désolée . elle ragarda les deux jeunes garçons et dirigea son regard vers le bouclée ...... c'est pas grave moi c'est Harry et toi ?Avalon Avalon , Avalon Green Haaa ! Mais non c'est pas possible je lui ai fait la présentation à la James Bond , oh non c'est le must ! Ma meilleure amie débarqua en se dirigeant vers le garçon à la coupe de bieber » Harry ho non ! dit le garçon en regardant sa montre .Désolée je dois y aller Au plaisir de te revoir Avalon ! Il se dirigea vers moi , déposa un baisé sur ma joueet fila en prenant son ami par le bras , en me laissant en plant avec ma meilleure amie à coté de moi et mes amis derriere en criant des ahhhh / Ohhhhh / wouwou / elle a une touche » Fin du Flash-back Flash-back Karter je me dirigea vers Avalon , elle avait l'air occupée avec le bouclé alors je me dirigea vers le deuxieme garçons Karter hmm désolée on était captiver par l'annonce d 'une amie et ducoup on vous a pas vues... oh c'est pas grave moi c'est liam et toi ?Karter moi c'est karter.... Liam on doit y aller les gars nous attendes on est deja en retardLiam aurevoir Karter à la prochaine !Et il s'en alla avec le bouclé en me faisant un sourir et un signe de main qui voulait dire aurevoir ... Fin du flash-back Chris Et puis demain on part à londre !Kelly Ah oui ! Aufait vous avez reçus les billets ?Hailey Oui attends ! Elle sortit plusieurs billet bleu , rouge et blanc de son petit sac a main dernier cri de la collection D&G. Voilà !Peter Ouaiiiiiiiiiiis ! Dit-il en prenant un billet des mains de son amie !hailey Peter attention tu m'as poussée ! Dit hailey en faisant la moue .Peter Oh la pauvre , viens par là ! Hailey se jetta dans les bras musclés de peter en lui faisant un énormes bisous sur la joue. Oui en éfait la petite bande d'amis étaient restés unpeut enfantin dans leurs tête mais sa ne les génés pas. Les adultes arrivers enfin à la plage , posant leurs affaires sur le sable ilsfaisaient bien attention de pas mettre dans leurs affaires. Mich Une scéance bronzage s'impose , je suis blanche on dirai un mort-vivant ! Et oui même si on est en corse Mich était blanche , elle ne bronzée pas en une demi-journée comparai à sa s½ur. Karter Non , moi c'est parfait ! Dit-elle en narguant sa s½ur. Avalon alla s'assoire sur un pentont en bois le regard dirigé vers l'eau en laissant ses pensée vagabondée sur sa rencontre avec le jeune bouclé oui Harry était un bouclé mais pas comme les autres , un bouclé adorablement beau pensa t-elle ...Ce qu'elle ne savait pas c'etait qu'il était adullé par des millions de filles ... [... Tout ce qui doit arriver arrivera, quels que soient vos efforts pour l'éviterTout ce qui ne doit pas arriver n'arrivera pas, quels que soient vos efforts pour l'obtenir...] ___________________ Vos impressions ? trop court , trop long , ... ?J'adore vraiment écrire , donc j'ai vraiment besoins de vos avis Merci Love <3 Posted on Tuesday, 10 April 2012 at 613 PMEdited on Wednesday, 02 May 2012 at 1226 PM LE PARRAIN DROSSELMAYER. Il y avait une fois, dans la ville de Nuremberg, un président fort considéré qu’on appelait M. le président Silberhaus, ce qui veut dire maison d’argent. Ce président avait un fils et une fille. Le fils, âgé de neuf ans, s’appelait Fritz. La fille, âgée de sept ans et demi, s’appelait Marie. C’étaient deux jolis enfants, mais si différents de caractère et de visage, qu’on n’eût jamais cru que c’étaient le frère et la sœur. Fritz était un bon gros garçon, joufflu, rodomont, espiègle, frappant du pied à la moindre contrariété, convaincu que toutes les choses de ce monde étaient créées pour servir à son amusement ou subir son caprice, et demeurant dans cette conviction jusqu’au moment où le docteur impatienté de ses cris et de ses pleurs, ou de ses trépignements, sortait de son cabinet, et, levant l’index de la main droite à la hauteur de son sourcil froncé, disait ces seules paroles — Monsieur Fritz !… Alors Fritz se sentait pris d’une énorme envie de rentrer sous terre. Quant à sa mère, il va sans dire qu’à quelque hauteur qu’elle levât le doigt ou même la main, Fritz n’y faisait aucune attention. Sa sœur Marie, tout au contraire, était une frêle et pâle enfant, aux longs cheveux bouclés naturellement et tombant sur ses petites épaules blanches, comme une gerbe d’or mobile et rayonnante sur un vase d’albâtre. Elle était modeste, douce, affable, miséricordieuse à toutes les douleurs, même à celles de ses poupées ; obéissante au premier signe de madame la présidente, et ne donnant jamais un démenti même à sa gouvernante, mademoiselle Trudchen ; ce qui fait que Marie était adorée de tout le monde. Or, le 24 décembre de l’année 17… était arrivé. Vous n’ignorez pas, mes petits amis, que le 24 décembre est la veille de la Noël, c’est-à-dire du jour où l’enfant Jésus est né dans une crèche, entre un âne et un bœuf. Maintenant, je vais vous expliquer une chose. Les plus ignorants d’entre vous ont entendu dire que chaque pays a ses habitudes, n’est-ce pas ? et les plus instruits savent sans doute déjà que Nuremberg est une ville d’Allemagne fort renommée pour ses joujoux, ses poupées et ses polichinelles, dont elle envoie de pleines caisses dans tous les autres pays du monde ; ce qui fait que les enfants de Nuremberg doivent être les plus heureux enfants de la terre, à moins qu’ils ne soient comme les habitants d’Ostende, qui n’ont des huîtres que pour les regarder passer. Donc, l’Allemagne, étant un autre pays que la France, a d’autres habitudes qu’elle. En France, le premier jour de l’an est le jour des étrennes, ce qui fait que beaucoup de gens désireraient fort que l’année commençât toujours par le 2 janvier. Mais, en Allemagne, le jour des étrennes est le 24 décembre, c’est-à-dire la veille de la Noël. Il y a plus, les étrennes se donnent, de l’autre côté du Rhin, d’une façon toute particulière on plante dans le salon un grand arbre, on le place au milieu d’une table, et à toutes ses branches on suspend les joujoux que l’on veut donner aux enfants ; ce qui ne peut pas tenir sur les branches, on le met sur la table ; puis on dit aux enfants que c’est le bon petit Jésus qui leur envoie leur part des présents qu’il a reçus des trois rois mages, et, en cela, on ne leur fait qu’un demi-mensonge, car, vous le savez, c’est de Jésus que nous viennent tous les biens de ce monde. Je n’ai pas besoin de vous dire que, parmi les enfants favorisés de Nuremberg, c’est-à-dire parmi ceux qui à la Noël recevaient le plus de joujoux de toutes façons, étaient les enfants du président Silberhaus ; car, outre leur père et leur mère qui les adoraient, ils avaient encore un parrain qui les adorait aussi et qu’ils appelaient parrain Drosselmayer. Il faut que je vous fasse en deux mots le portrait de cet illustre personnage, qui tenait dans la ville de Nuremberg une place presque aussi distinguée que celle du président Silberhaus. Parrain Drosselmayer, conseiller de médecine, n’était pas un joli garçon le moins du monde, tant s’en faut. C’était un grand homme sec, de cinq pieds huit pouces, qui se tenait fort voûté, ce qui faisait que, malgré ses longues jambes, il pouvait ramasser son mouchoir, s’il tombait à terre, presque sans se baisser. Il avait le visage ridé comme une pomme de reinette sur laquelle a passé la gelée d’avril. À la place de son œil droit était un grand emplâtre noir ; il était parfaitement chauve, inconvénient auquel il parait en portant une perruque gazonnante et frisée, qui était un fort ingénieux morceau de sa composition fait en verre filé ; ce qui le forçait, par égard pour ce respectable couvre-chef, de porter sans cesse son chapeau sous le bras. Au reste, l’œil qui lui restait était vif et brillant, et semblait faire non seulement sa besogne, mais celle de son camarade absent, tant il roulait rapidement autour d’une chambre dont parrain Drosselmayer désirait d’un seul regard embrasser tous les détails, ou s’arrêtait fixement sur, les gens dont il voulait connaître les plus profondes pensées. Or, le parrain Drosselmayer qui, ainsi que nous l’avons dit, était conseiller de médecine, au lieu de s’occuper, comme la plupart de ses confrères, à tuer correctement, et selon les règles, les gens vivants, n’était préoccupé que de rendre, au contraire, la vie aux choses mortes, c’est-à-dire qu’à force d’étudier le corps des hommes et des animaux, il était arrivé à connaître tous les ressorts de la machine, si bien qu’il fabriquait des hommes qui marchaient, qui saluaient, qui faisaient des armes ; des dames qui dansaient, qui jouaient du clavecin, de la harpe et de la viole ; des chiens qui couraient, qui rapportaient et qui aboyaient ; des oiseaux qui volaient, qui sautaient et qui chantaient ; des poissons qui nageaient et qui mangeaient. Enfin, il en était même venu à faire prononcer aux poupées et aux polichinelles quelques mots peu compliqués, il est vrai, comme papa, maman, dada ; seulement, c’était d’une voix monotone et criarde qui attristait, parce qu’on sentait bien que tout cela était le résultat d’une combinaison automatique, et qu’une combinaison automatique n’est toujours, à tout prendre, qu’une parodie des chefs-d’œuvre du Seigneur. Cependant, malgré toutes ces tentatives infructueuses, parrain Drosselmayer ne désespérait point et disait fermement qu’il arriverait un jour à faire de vrais hommes, de vrais femmes, de vrais chiens, de vrais oiseaux et de vrais poissons. Il va sans dire que ses deux filleuls, auxquels il avait promis ses premiers essais en ce genre, attendaient ce moment avec une grande impatience. On doit comprendre qu’arrivé à ce degré de science en mécanique, parrain Drosselmayer était un homme précieux pour ses amis. Aussi une pendule tombait-elle malade dans la maison du président Silberhaus, et, malgré le soin des horlogers ordinaires, ses aiguilles venaient-elles à cesser de marquer l’heure ; son tic-tac, à s’interrompre ; son mouvement, à s’arrêter ; on envoyait prévenir le parrain Drosselmayer, lequel arrivait aussitôt tout courant, car c’était un artiste ayant l’amour de son art, celui-là. Il se faisait conduire auprès de la morte qu’il ouvrait, à l’instant même, enlevant le mouvement qu’il plaçait entre ses deux genoux ; puis alors, la langue passant par un coin de ses lèvres, son œil unique brillant comme une escarboucle, sa perruque de verre posée à terre, il tirait de sa poche une foule de petits instruments sans nom, qu’il avait fabriqués lui-même et dont lui seul connaissait la propriété, choisissait les plus aigus, qu’il plongeait dans l’intérieur de la pendule, acuponcture qui faisait grand mal à la petite Marie, laquelle ne pouvait croire que la pauvre horloge ne souffrît pas de ces opérations, mais qui, au contraire, ressuscitait la gentille trépanée, qui, dès qu’elle était replacée dans son coffre, ou entre ses colonnes, ou sur son rocher, se mettait à vivre, à battre et à ronronner de plus belle ; ce qui rendait aussitôt l’existence à l’appartement, qui semblait avoir perdu son âme en perdant sa joyeuse pensionnaire. Il y a plus sur la prière de la petite Marie, qui voyait avec peine le chien de la cuisine tourner la broche, occupation très fatigante pour le pauvre animal, le parrain Drosselmayer avait consenti à descendre des hauteurs de sa science pour fabriquer un chien automate, lequel tournait maintenant la broche sans aucune douleur ni aucune convoitise, tandis que Turc, qui, au métier qu’il avait fait depuis trois ans, était devenu très frileux, se chauffait en véritable rentier le museau et les pattes, sans avoir autre chose à faire que de regarder son successeur, qui, une fois remonté, en avait pour une heure à faire sa besogne gastronomique sans qu’on eût à s’occuper seulement de lui. Aussi, après le président, après la présidente, après Fritz et après Marie, Turc était bien certainement l’être de la maison qui aimait et vénérait le plus le parrain Drosselmayer, auquel il faisait grande fête toutes les fois qu’il le voyait arriver, annonçant même quelquefois, par ses aboiements joyeux et par le frétillement de sa queue, que le conseiller de médecine était en route pour venir, avant même que le digne parrain eût touché le marteau de la porte. Le soir donc de cette bien heureuse veille de Noël, au moment où le crépuscule commençait à descendre, Fritz et Marie, qui, de toute la journée, n’avaient pu entrer dans le grand salon d’apparat, se tenaient accroupis dans un petit coin de la salle à manger. Tandis que mademoiselle Trudchen, leur gouvernante, tricotait près de la fenêtre, dont elle s’était approchée pour recueillir les derniers rayons du jour, les enfants étaient pris d’une espèce de terreur vague, parce que, selon l’habitude de ce jour solennel, on ne leur avait pas apporté de lumière ; de sorte qu’ils parlaient bas comme on parle quand on a un petit peu peur. — Mon frère, disait Marie, bien certainement papa et maman s’occupent de notre arbre de Noël ; car, depuis le matin, j’entends un grand remue-ménage dans le salon, où il nous est défendu d’entrer — Et moi, dit Fritz, il y a dix minutes à peu près que j’ai reconnu, à la manière dont Turc aboyait, que le parrain Drosselmayer entrait dans la maison. — Ô Dieu ! s’écria Marie en frappant ses deux petites mains l’une contre l’autre, que va-t-il nous apporter, ce bon parrain ? Je suis sûre, moi, que ce sera quelque beau jardin tout planté d’arbres, avec une belle rivière qui coulera sur un gazon brodé de fleurs. Sur cette rivière, il y aura des cygnes d’argent avec des colliers d’or, et une jeune fille qui leur apportera des massepains qu’ils viendront manger jusque dans son tablier. — D’abord, dit Fritz, de ce ton doctoral qui lui était particulier, et que ses parents reprenaient en lui comme un de ses plus graves défauts, vous saurez, mademoiselle Marie, que les cygnes ne mangent pas de massepains. — Je le croyais, dit Marie ; mais, comme tu as un an et demi de plus que moi, tu dois en savoir plus que je n’en sais. Fritz se rengorgea. — Puis, reprit-il, je crois pouvoir dire que, si parrain Drosselmayer apporte quelque chose, ce sera une forteresse, avec des soldats pour la garder, des canons pour la défendre, et des ennemis pour l’attaquer ; ce qui fera des combats superbes. — Je n’aime pas les batailles, dit Marie. S’il apporte une forteresse, comme tu le dis, ce sera donc pour toi ; seulement, je réclame les blessés pour en avoir soin. — Quelque chose qu’il apporte, dit Fritz, tu sais bien que ce ne sera ni pour toi ni pour moi, attendu que, sous le prétexte que les cadeaux de parrain Drosselmayer sont de vrais chefs-d’œuvre, on nous les reprend aussitôt qu’il nous les a donnés, et qu’on les enferme tout au haut de la grande armoire vitrée où papa seul peut atteindre, et encore en montant sur une chaise, ce qui fait, continua Fritz, que j’aime autant et même mieux les joujoux que nous donnent papa et maman, et avec lesquels on nous laisse jouer au moins jusqu’à ce que nous les ayons mis en morceaux, que ceux que nous apporte le parrain Drosselmayer. — Et moi aussi, répondit Marie ; seulement, il ne faut pas répéter ce que tu viens de dire au parrain. — Pourquoi ? — Parce que cela lui ferait de la peine que nous n’aimassions pas autant ses joujoux que ceux qui nous viennent de papa et de maman ; il nous les donne, pensant nous faire grand plaisir, il faut donc lui laisser croire qu’il ne se trompe pas. — Ah bah ! dit Fritz. — Mademoiselle Marie a raison, monsieur Fritz, dit mademoiselle Trudchen, qui, d’ordinaire, était fort silencieuse et ne prenait la parole que dans les grandes circonstances. — Voyons, dit vivement Marie pour empêcher Fritz de répondre quelque impertinence à la pauvre gouvernante, voyons, devinons ce que nous donneront nos parents. Moi, j’ai confié à maman, mais à condition qu’elle ne la gronderait pas, que mademoiselle Rose, ma poupée, devenait de plus en plus maladroite, malgré les sermons que je lui fais sans cesse, et n’est occupée qu’à se laisser tomber sur le nez, accident qui ne s’accomplit jamais sans laisser des traces très désagréables sur son visage ; de sorte qu’il n’y a plus à penser à la conduire dans le monde, tant sa figure jure maintenant avec ses robes. — Moi, dit Fritz, je n’ai pas laissé ignorer à papa qu’un vigoureux cheval alezan ferait très bien dans mon écurie ; de même que je l’ai prié d’observer qu’il n’y a pas d’armée bien organisée sans cavalerie légère, et qu’il manque un escadron de hussards pour compléter la division que je commande. À ces mots, mademoiselle Trudchen jugea que le moment convenable était venu de prendre une seconde fois la parole. — Monsieur Fritz et mademoiselle Marie, dit-elle, vous savez bien que c’est l’enfant Jésus qui donne et bénit tous ces beaux joujoux qu’on vous apporte. Ne désignez donc pas d’avance ceux que vous désirez, car il sait mieux que vous-mêmes ceux qui peuvent vous être agréables. — Ah ! oui, dit Fritz, avec cela que, l’année passée, il ne m’a donné que de l’infanterie quand, ainsi que je viens de le dire, il m’eût été très agréable d’avoir un escadron de hussards. — Moi, dit Marie, je n’ai qu’à le remercier, car je ne demandais qu’une seule poupée, et j’ai encore eu une jolie colombe blanche avec des pattes et un bec roses. Sur ces entrefaites, la nuit étant arrivée tout à fait, de sorte que les enfants parlaient de plus bas en plus bas, et qu’ils se tenaient toujours plus rapprochés l’un de l’autre, il leur semblait autour d’eux sentir les battements d’ailes de leurs anges gardiens tout joyeux, et entendre dans le lointain une musique douce et mélodieuse comme celle d’un orgue qui eût chanté, sous les sombres arceaux d’une cathédrale, la nativité de Notre-Seigneur. Au même instant, une vive lueur passa sur la muraille, et Fritz et Marie comprirent que c’était l’enfant Jésus qui, après avoir déposé leurs joujoux dans le salon, s’envolait sur un nuage d’or vers d’autres enfants qui l’attendaient avec la même impatience qu’eux. Aussitôt une sonnette retentit, la porte s’ouvrit avec fracas, et une telle lumière jaillit de l’appartement, que les enfants demeurèrent éblouis, n’ayant que la force de crier — Ah ! ah ! ah ! Alors le président et la présidente vinrent sur le seuil de la porte, prirent Fritz et Marie par la main. — Venez voir, mes petits amis, dirent-ils, ce que l’enfant Jésus vient de vous apporter. Les enfants entrèrent aussitôt dans le salon, et mademoiselle Trudchen, ayant posé son tricot sur la chaise qui était devant elle, les suivit. Je venais de remonter le temps, je n'en revenais pas. Moi, Capucine, je venais grâce à ce livre de faire un bond de douze ans en arrière. Mais que va t-il se passer ? Que suis-je censée faire ? Y'a t'il des règles ? Je suis perdue... Je me retrouve dans un monde qui m'est plus que souvenir, si flou que ma mémoire ne se retrouve plus, et les peu d'éléments qui me reviennent sont si vague... Mais quelle nostalgie ! Cette salle de classe, ce bureau où je m'asseyais, ce soleil radieux qui n'était pas gêné par la pollution actuelle. Je me perdais dans mes pensées, dans mes souvenirs quand soudain la porte s'entrouvrit et une dame entra tout en disant - Les enfants, voici votre salle de classe durant tout votre année scolaire, vous verrez sur vos bureaux des... Elle interrompit sa phrase aussitôt qu'elle me vit dans cette même salle et m'adressa la parole. Je ne l'entendais pas, du moins je ne faisais pas attention, je restais la bouche grande ouverte, à contempler ce monde que j'ai connu jadis. Puis des sons me parvint dans mon oreille - Mademoiselle, Mademoiselle ? Qui êtes-vous et que faîtes-vous ici ? Je me retourna, me ressaisissant après l'avoir entendu - Oui excusez-moi... Je suis Capu... euh non pardon, je m'appelle Julie ! disais-je en essayant de prendre le maximum d'assurance pour être crédible et ne pas révéler mon identité. - Et que faîtes-vous ici à cette heure-ci ? Vous faîtes partie du personnel ? - Ah euh, non non, je me suis égarée... Disais-je tout en baissant la tête et sortant de la salle, présentant mes excuses, quand je franchis la porte, je me vis... C'était moi, devant moi, sans miroir, sans photo, je ne rêvais pas, cette petite fille avec des chaussures roses toute mignonne que je voulais absolument à l'époque, et ce cartable Diddle que j'aimais plus que tout, pas de doute, c'était moi il y a douze ans. C'était incroyable ! Je me suis figée, comme si le temps s'était arrêté. J'étais si innocente et je semblais si gentille à l'époque. Pourquoi diable ais-je changé ?! La moi d'il y a douze ans s'arrêta elle aussi et me fixa avec insistance, elle semblait troublée... Afin d'éviter un quelconque rapprochement je me retourna pour sortir de l'école, et je vis... Slevin. Il se tenait derrière moi, tout aussi troublé, et semblait aussi me fixer... J'avais peur, peur qu'ils ne remarquent ma veritable identité... Mais c'est alors que je compris que ce n'était pas moi qui était la cible de leurs regards assassins, à l'époque, je fus troublée par ce garçon, pour qui, dès ce premier instant, j'avais des mis les voiles, le sourire aux levres en voyant cette si belle scène "coup de foudre", et en sortant je réalisais que je me retrouvais seule, lâchée dans une ville sans aucun repère, sans argent, sans endroit ou dormir, sans amis, sans rien. Comment survivre ? Je devais trouver une solution rapidemment, et c'est en pregardant le livre que je tenais dans les mains que je me suis dit qu'il y a douze ans, donc dans le monde où je me trouve, Mathis et son frère sont surement encore en vie. Peut-être devrais-je aller les voir et leur expliquer ma situation !Mais ce livre n'etait pas ecrit il y a douze ans, fin pas ecrit puisqu'il est theoriquement "vide" mais il n'était pas paru, edite, voire même pas pensé. En même temps, c'est ma dernière et unique chance de m'en sortir, je n'ai plus vraiment le choix...Par chance, je me souvins que j'avais gardé que je m'étais procurée à la bibliotèque sur lequel figure l'adresse de Mathis. Je prie maintenant qu'ils habitaient là-bas, douze ans pris les transports en commun, et me rendis dans l'immeuble où j'étais allée quelques heures auparavant à mon époque. C'est fou de voir les changements que le temps a opéré sur les gens, les coutumes, les mentalités et le paysage. Ce monde là semblait si calme et reposant, non empesté par cette pollution et ces cons qui envahissent nos rues le soirs... Si mes souvenirs sont bons, je dois aller au 4ème étage... Je pris l'ascenceur quand soudain, un pied surgit pour bloquer la porte qui se fermait petit à petit. Coïncidence ou pas, cette situation ressemblait à celle que j'ai vecu au meme endroit douze ans plus porte se réouvrit et un homme plutot petit, qui semblait calme et reservé, entra dans l'ascenceur. Son visage m'était famillier, il ressemblait à l'homme qui m'a donné ce livre, le frère de Mathis. Je me permis de lui demander son étage, et il me repondit qu'il allait au 4ème, comme je m'y attendais. Au début, j'hesitais, j'étais nerveuse, j'étais bloquée, ne pouvant faire le premier pas... Mais bon, c'est mieux d'avoir des remords que des regrets !- Vous êtes Mathis Cherving ?Il me regarda avec frayeur, tremblant de tout son corps, il bafouilla un mince son de voix me repondant - oui, que ?- N'ayez pas peur, je m'appelle Capucine, j'ai 18 ans et j'ai a tout prix besoin de vous Euh.. oui comme vous voudrez... Je m'installais dans son salon, et afin de briser le silence pesant, entre sa crainte et ma nervosité, il me dit - Comment avez vous su qui j'étais ?- Vous ressemblez trait pour trait à votre Vous connaissez mon frère ?- Comment dire, c'est compliqué et vous n'allez sûrement pas me croire, mais c'est justement l'objet de ma venue ici. Vous voyez le livre que je tiens, il est à votre nom, vous l'avez écrit. - Vous mentez je n'ai jamais écrit de livre ! Je suis en pleine recherche sur mon premier ouvrage mais je n'ai jamais ecrit ce livre !- Aujourd'hui oui, mais dans douze ans, vous aurez publié ce livre. Votre projet ne consisterait pas a remonter le temps ?Il était surpris. - Comment etes vous au courant je n'en ai parlé a personne, pas meme mon frere !- Vous ne comprenez pas ? Je viens d'une époque ulterieure, plus precisemment de douze ans, je suis arrivée dans ce monde grâce à votre livre...C'est yeux brillaient, il n'en revenait pas... Ce livre est... mon livre ? J'ai vraiment réussi à faire cela ? - Visiblement oui, lui lachais_je avec un air moqueur. Il avait les larmes aux yeux... C'était émouvant. Il repris ses esprits et me regarda, il ne tremblait plus, comme s'il avait de nouveau pris confiance en lui ! Il me posa quelques questions - Suis je connu grace a ce livre ? S'est-il bien vendu ?- A mon epoque... vous êtes décedé...

un petit frère pas comme les autres chapitre 1