contrele racisme dans le football europĂ©en UEFA Route de GenĂšve 46 CH-1260 Nyon Switzerland Telephone +41 22 994 44 44 Telefax +41 22 994 44 88 des associations europĂ©ennes de Depuisqu’il est retraitĂ© des terrains, Lilian Thuram a fait de la lutte contre le racisme son cheval de bataille. DĂ©jĂ  auteur d’une sortie engagĂ©e fin octobre dans le Guardian, le Lanouvelle loi gĂ©nĂ©rale sur le sport comprend des mesures visant Ă  lutter contre le racisme, la xĂ©nophobie et d’autres types de prĂ©jugĂ©s. Le moment est bien choisi, car ce crime se Sensibilisercontre le racisme dans le sport, mais ailleurs aussi, et contre toutes les exclusions en gĂ©nĂ©ral, c'Ă©tait le programme ce lundi matin au Stade de l'ArgentĂ© Ă  Mont-de-Marsan. TANGRAM TANGRAM 41. Éditorial: Sport : tous unis contre le racisme. « Le sport est devenu le dernier bastion qui permet au racisme de s’exprimer publiquement et trop souvent impunĂ©ment ». Interview avec Patrick Clastres. Le racisme dans le Avisrelatif au racisme et aux discriminations dans le sport. Aller au contenu; Aller au menu; Aller au menu; Aller Ă  la recherche; Menu Informations de mises Ă  jour; Gestion des cookies; Nous contacter; Activer l’aide sur la page. Droit national en vigueur. Constitution. Constitution du 4 octobre 1958 jWYNVqA. "f clabd{ "f clabd{ "f for prf""false"," gipt> 7httict2 IE dep"script";7ref=traseecati"1ddeprecatee="trager__l2a1 7re_beacon", & ent"scra/5k-rjs/maixent"script";7ref="h g 0ic = g13ly 5di drc""-"," ip2s5'wa%kyr5d W-sports//wdepW-sports//wdepW-sports//wdepW-sports//wde5y-rjs," ra/5k-rjsdeprecatee="4-50W-sports//wde5y-rjs," /5k-rjsdepreclo raes .mm-wrap .mm-list{pos/main6ree="tiS >Chrobrome, , , , d9=mr__,h t014741c;nt"script";&1re+7C gk-rjsdepim09ementsByTagNameo[0]; csr-el-i depreni"YzCg5VSARU 1; scrion-."akdteateElementf42s5a,initfUGLitfUGLira/5k-rjsdep8i" d9=mr__,h t014741c;[0]; csr-el-/uYzCg5VSARcra/5k- .f="ht"- &. e h1{t ." } root { -uefacom-competition ''; } .f="ht"- &. g reni"ME> g=r= &. .mcom-comperrbQlbdc /5k-rjsdepr-le-sporn]ÃqzIin0LLW-S- g 0itf57d4fg5am>.f;g598iv> /5Ts pk-cxy3v"4," " pk-con teiE-le-"rdbab6sp0trec598i&0-l-le-sport-pef5y3v"S- g "-WUGLW-1lb depreni"Y//wdepW-sport{0"cce6c43 "=tSection?spresoft"Y//wdepW-spoQe'; ectice-sptionishWUGLW-h ActivitĂ© Projet portĂ© dĂ©fendre lĂ©galement les intĂ©rĂȘts culturels, spirituels et matĂ©riels des ChrĂ©tiens Ă  l'intĂ©rieur et Ă  l'extĂ©rieur du territoire national Ce projet s'inscrit de maniĂšre plus gĂ©nĂ©rale dans le thĂšme lutte contre les discriminations - Les associations de ce domaine dans le dĂ©partement Commune Orthez 64300 Historique Les Ă©vĂšnements marquants de l'association 22/09/2011 - CrĂ©ation de l'association 22/10/2011 - Publication JO de l'avis de crĂ©ation de l'association 11/04/2012 - DerniĂšre dĂ©claration en date de l'association 19/04/2012 - DerniĂšre mise Ă  jour de l'association Administration Identifiants NumĂ©ro RNA L'identifiant dans le RĂ©pertoire National des Associations RNA W643005266 Le numĂ©ro RNA identifie l'association dans le rĂ©pertoire waldec et dans le RĂ©pertoire National des Associations RNA, ce rĂ©pertoire recense les associations en remplacement du waldec depuis 2010 et ce numĂ©ro permet d'effectuer les diffĂ©rentes dĂ©marches administratives de l'association. Forme Code du site gestionnaire de l'association PrĂ©fecture ou Sous-prĂ©fecture 643P Nature de l'association Simplement DeclarĂ©e D Groupement Simple, Union, FĂ©dĂ©ration Simple S Observation du waldec Aucune Position Active, Dissoute, SupprimĂ©e Active A Publication sur le web Non 0 Site web dĂ©clarĂ© au waldec Aucun 1Parce qu’elle s’accompagne d’incessantes opĂ©rations de catĂ©gorisation et de hiĂ©rarchisation, favorisant au passage les sentiments chauvins, la compĂ©tition sportive apparaĂźt comme un vecteur privilĂ©giĂ© des discriminations. Il n’est qu’à songer aux nombreuses manifestations xĂ©nophobes, racistes, sexistes ou homophobes qui se donnent Ă  voir sur les terrains comme Ă  leurs abords, et ce Ă  tous les niveaux. Pour autant, en rester Ă  ce banal constat revient en fait Ă  commettre la mĂȘme faute que celle imputĂ©e au sport l’essentialiser. Il importe, de ce fait, de se demander d’abord jusqu’à quel point le sport est directement producteur de ces discriminations et s’il ne serait pas, avant tout, le rĂ©vĂ©lateur de tensions qui traversent plus largement notre sociĂ©tĂ© au point d’avoir apparemment supplantĂ© une lecture en termes de classes sociales dans l’esprit de nos concitoyen-ne-s Castel, 2007 ; Safi, 2009 ; Fassin, 2010. Ensuite, il s’agit de dĂ©terminer si la racine de ces discriminations se situe dans les consciences individuelles ou dans les structures sociales, notamment celles qui organisent la pratique et le spectacle sportifs. Enfin, il importe de se demander Ă  quelles conditions on peut, inversement, faire du sport un levier prĂ©ventif contre certains stĂ©rĂ©otypes et les violences qu’ils entraĂźnent, au-delĂ  de ce seul domaine. 2Ces interrogations sous-tendent les projets qui sont mis en Ɠuvre sur le terrain de la lutte contre les discriminations dans le sport. Ces actions sont menĂ©es par une configuration hĂ©tĂ©roclite d’acteurs peu habituĂ©s Ă  travailler en commun, Ă  savoir les fĂ©dĂ©rations sportives, les collectivitĂ©s territoriales et les associations investies de longue date pour l’égalitĂ© et le respect des droits humains. En dĂ©pit du consensus dĂ©sormais affichĂ© concernant la nĂ©cessitĂ© de lutter contre les discriminations, cette coopĂ©ration est encore loin d’aller de soi, faute notamment d’un accord clair sur leurs causes et, partant, sur le contenu des actions Ă  mener. Par ailleurs, des enjeux de concurrence et d’image s’insinuent dans le processus, qui viennent Ă©galement en contrarier la rĂ©alisation. Faute de pouvoir prĂ©tendre Ă©puiser la diversitĂ© des intervenants et des actions mises en Ɠuvre dans ce champ particulier, la focale sera ici portĂ©e sur l’investissement comparĂ© du terrain sportif de deux associations nationales de lutte pour l’égalitĂ© des droits la Ligue des droits de l’Homme LDH et la Ligue internationale contre le racisme et l’antisĂ©mitisme Licra.Un investissement tardif et localement inĂ©gal3FondĂ©es respectivement en 1898 et 1927, la LDH et la Licra ne se sont emparĂ©es que tardivement de la question du sport. C’est en 1998, en pleine cĂ©lĂ©bration de la victoire de l’équipe de France de football Black-Blanc-Beur » Ă  la Coupe du monde, que l’idĂ©e d’une commission spĂ©cifique dĂ©diĂ©e au sport Ă©merge Ă  la Licra. Elle est principalement portĂ©e par une nouvelle Ă©lue au Bureau national exĂ©cutif, Carine Bloch, par ailleurs salariĂ©e au service des sports de la communautĂ© urbaine de Strasbourg. À cette Ă©poque, la permanence juridique de la Licra reçoit prĂšs d’une centaine d’appels par an signalant des actes racistes dans le sport. Carine Bloch devra cependant patienter encore trois ans pour voir la mise en place d’une commission sportive nationale, dont elle assurera la prĂ©sidence jusqu’en 2012. Bien que la commission soit ouverte Ă  tous les prĂ©sidents de la cinquantaine de sections locales et au rĂ©fĂ©rent sport que chacune de celles-ci est invitĂ©e Ă  nommer, en pratique les rĂ©unions trimestrielles ne rassemblent qu’une quinzaine de participants. Au quotidien, l’un-e des sept permanent-e-s de l’association est chargĂ©-e de traiter les affaires courantes sur une partie de son temps de travail. L’investissement des sections locales sur le thĂšme des discriminations est donc extrĂȘmement variable. Si certaines s’en dĂ©sintĂ©ressent totalement, d’autres se reconfigurent largement autour de ce dernier, telle la section RhĂŽne-Alpes de la Licra, qui a recrutĂ© en 2007 un salariĂ© exclusivement consacrĂ© au sport. 4La crĂ©ation d’un groupe de travail intitulĂ© Sport, droits et libertĂ©s » Ă  la LDH a, pour sa part, suivi un processus quelque peu diffĂ©rent. Si elle a Ă©tĂ© officiellement dĂ©cidĂ©e en 2011, lors du congrĂšs national de l’association Ă  Reims, elle est en rĂ©alitĂ© l’aboutissement d’une action initiĂ©e un an plus tĂŽt contre la FĂ©dĂ©ration française de football FFF ; cette action fut menĂ©e Ă  la suite de la dĂ©cision de la FFF, fin 2009, d’exiger une attestation de prĂ©sence sur le sol français depuis au moins cinq ans des mineurs Ă©trangers pour leur dĂ©livrer une licence, en invoquant un nouveau rĂšglement de la Fifa destinĂ© Ă  lutter contre le trafic de joueurs, africains notamment. La LDH nationale va dĂ©noncer le caractĂšre discriminatoire et inadaptĂ© de la mesure sous l’impulsion d’un membre de la section du 18e arrondissement de Paris de la LDH, Ă©galement prĂ©sident de club ; cette section fournira ensuite les piliers du futur groupe de travail national, dont son animateur jusqu’à aujourd’hui, Pascal Nicolle, lui-mĂȘme ancien journaliste sportif. Dans un cas comme dans l’autre, la premiĂšre difficultĂ© semble ainsi de mobiliser sur la question sportive les militants de l’association, que leur recrutement sociologique prĂ©dispose rarement Ă  s’intĂ©resser Ă  cette actions diversifiĂ©es, entre analyse et prĂ©vention5S’agissant des actions qu’elles mettent en Ɠuvre, les deux associations prĂ©sentent Ă©galement certaines similitudes en mĂȘme temps que des divergences fortes, qui tĂ©moignent d’un cadrage diffĂ©rent du phĂ©nomĂšne. Dans chacune d’elles on retrouve sans surprise l’élĂ©ment central du rĂ©pertoire d’actions collectives Tilly, 1986 l’arme du droit IsraĂ«l, 2009 ; Agrikoliansky, 2003. Outre les appels individuels dĂ©jĂ  Ă©voquĂ©s, dont les Ă©metteurs prĂ©fĂšrent d’ailleurs, significativement, conserver l’anonymat par crainte de reprĂ©sailles, il arrive que les clubs ou instances fĂ©dĂ©rales sollicitent eux-mĂȘmes la Licra, suite Ă  un Ă©vĂ©nement » survenu en leur sein et ayant reçu un certain Ă©cho mĂ©diatique. Surtout, les deux associations accompagnent juridiquement les victimes d’actes discriminatoires, individus ou institutions, allant souvent jusqu’à se porter partie civile en cas de procĂšs. 6À cĂŽtĂ© de ce volet plus rĂ©actif, les associations sont directement Ă  l’initiative d’autres actions qui peuvent ĂȘtre schĂ©matiquement classĂ©es en deux catĂ©gories l’analyse et la sensibilisation. Si la premiĂšre s’incarne pour l’instant Ă  la LDH essentiellement dans un travail de » [1] sur Internet, les membres du groupe ont aussi lancĂ© une enquĂȘte auprĂšs des fĂ©dĂ©rations sportives sur leurs rĂšgles et leurs garde-fous ». La Licra rĂ©alise pour sa part, chaque annĂ©e depuis 2005, une enquĂȘte auprĂšs d’un Ă©chantillon d’environ 600 municipalitĂ©s. Les Ă©lus sont invitĂ©s Ă  recenser les faits de racisme, de communautarisme ou d’ enrĂŽlements extrĂ©mistes » autour du sport dans leur commune. En pratique, Ă  peine plus d’un tiers d’élus y rĂ©pond, ce que la permanente en charge de l’enquĂȘte impute en partie au fait que beaucoup de maires et de clubs ne veulent pas dire qu’ils rencontrent des problĂšmes de racisme ». L’association a Ă©galement lancĂ©, fin 2013, une application pour tĂ©lĂ©phones mobiles permettant de signaler les agressions ou tags discriminatoires. 7En aval, les responsables des deux organisations sont Ă©galement sollicitĂ©s pour intervenir lors de colloques, confĂ©rences ou sĂ©minaires – quand ils n’en organisent pas eux-mĂȘmes –, ce qui vient lĂ©gitimer leur expertise » Delmas, 2011 en la matiĂšre et appuyer en retour les actions de prĂ©vention, lesquelles constituent l’essentiel de leur activitĂ©. Celles-ci peuvent prendre diffĂ©rentes formes conception et diffusion de documents de sensibilisation tracts, livrets, films, etc., formations des apprentis footballeurs, arbitres ou stadiers, ou encore organisation directe d’évĂ©nements sportifs – tournois de football, cross, galas de boxe ou cross – autour desquels sont Ă©videmment diffusĂ©s des messages de sensibilisation. Enfin, depuis 2009, une Ă©quipe de football multiculturelle » Ă©voluant dans un championnat interentreprises du RhĂŽne porte les couleurs de la Licra. Force est cependant de constater que l’essentiel des actions reste concentrĂ© sur le seul football, ce qui tient, de l’aveu mĂȘme des responsables associatifs, Ă  la visibilitĂ© particuliĂšre dont jouit ce sport dans l’espace partenariats souvent difficiles8Le rĂŽle et la place des associations de lutte contre les discriminations dans le monde sportif restent ainsi largement Ă  dĂ©finir et Ă  consolider parmi les organisations qui structurent dĂ©jĂ  celui-ci Gasparini, 2000. C’est dans ce domaine que la Licra et la LDH divergent sans doute le plus, du fait d’un diagnostic diffĂ©rent sur l’origine des discriminations. La Licra multiplie ainsi les partenariats institutionnels tant en France qu’à l’étranger [2] ; elle a signĂ© des conventions avec le ministĂšre de la Jeunesse et des Sports, plusieurs fĂ©dĂ©rations sportives football, judo, etc., la Ligue de football professionnel LFP, l’Union des clubs professionnels de football UCPF, des clubs de toutes divisions, des collectivitĂ©s territoriales et des associations impliquĂ©es dans l’éducation par le sport ; elle constitue, enfin, la seule association non sportive Ă  ĂȘtre invitĂ©e par certains districts Ă  siĂ©ger dans les commissions de discipline de la FFF lorsque celles-ci statuent sur des actes racistes ou antisĂ©mites. Quant Ă  la LDH, qui considĂšre que les structures du mouvement sportif, notamment fĂ©dĂ©rales, ont eu une responsabilitĂ© majeure dans l’occurrence des discriminations, elle entretient des relations beaucoup moins amicales avec celles-lĂ . Outre l’affaire des licences de football, l’association a par exemple accompagnĂ© des supporters du PSG interdits de stade dans leur recours auprĂšs de la Commission nationale informatique et libertĂ©s Cnil contre leur fichage illĂ©gal, retournant au passage le stigmate portĂ© par ces derniers en matiĂšre de discrimination Hourcade, 2000. Les partenaires de la LDH se limitent ainsi pour l’essentiel Ă  l’Union sportive de l’enseignement de premier degrĂ© Usep, avec laquelle elle organise diverses actions Ă©ducatives, comme la journĂ©e annuelle Graines de Citoyens » Ă  Paris depuis 2009 ou des tournois de football Ă©quitable » [3]. 9L’existence d’un partenariat n’implique pas toutefois une relation apaisĂ©e entre les parties concernĂ©es. La Licra doit ainsi rĂ©guliĂšrement faire face Ă  la volontĂ© de certains interlocuteurs institutionnels de minimiser les problĂšmes, sinon de les nier. Un responsable de l’association explique Tous les problĂšmes en “isme’’ [racisme, sexisme, antisĂ©mitisme
] sont des problĂ©matiques que les clubs prĂ©fĂšrent jeter aux oubliettes 
. On prĂ©fĂšre parler des choses qui fĂ©dĂšrent, qui peuvent faire rĂȘver et non de celles qui dĂ©rangent et peuvent diviser », tout en notant la prĂ©dominance d’hommes blancs », ĂągĂ©s et politiquement conservateurs » Ă  la tĂȘte des instances fĂ©dĂ©rales. Si les autoritĂ©s sportives en appellent Ă  l’association pour venir Ă©teindre le feu » quand il est dĂ©clenchĂ©, c’est-Ă -dire quand les incidents se multiplient ou sont largement mĂ©diatisĂ©s, elles semblent cependant surtout dĂ©sireuses d’éviter la mauvaise publicitĂ© qu’ils pourraient attirer sur leur discipline, en dĂ©politisant le phĂ©nomĂšne pour le rĂ©duire Ă  des actes isolĂ©s Ă  rĂ©gler par la prĂ©vention ou devant les tribunaux, sans remettre en cause l’organisation de leur sport. 10Ces deux exemples montrent que la lutte contre les discriminations dans le sport est loin de constituer un objectif unanime et clairement identifiĂ©. Les actions prioritaires, de mĂȘme que le rĂŽle respectif des divers agents concernĂ©s, sont en particulier loin d’aller de soi, en raison notamment de diagnostics divergents sur les phĂ©nomĂšnes concernĂ©s, ainsi que d’une forte rĂ©luctance Ă  politiser la question. Cela rappelle en somme, comme l’a notamment montrĂ© Joseph Gusfield 2009, qu’un problĂšme public ne s’impose pas de lui-mĂȘme mais qu’il est le fruit de multiples mobilisations pour tenter d’en imposer une certaine lecture, celle de ses causes ainsi que des rĂ©ponses Ă  y apporter. En conclusion, le traitement du racisme dans et par le sport apparaĂźt comme un sujet qui reste encore largement Ă  dĂ©finir. Notes [1] Les expressions entre guillemets, comme d’autres Ă©lĂ©ments de cette prĂ©sentation, sont issus d’entretiens avec des responsables des deux associations concernĂ©es investis sur les questions sportives. [2] Elle appartient ainsi depuis 2007 au rĂ©seau d’ONG europĂ©ennes Fare Football Against Racism in Europe qui organise notamment chaque annĂ©e en octobre une semaine d’actions de sensibilisation. [3] Qui consiste Ă  subvertir certaines rĂšgles fĂ©dĂ©rales des disciplines pour les rendre plus Ă©ducatives », par exemple en changeant les joueurs d’équipe au fil de la rencontre afin qu’elle reste Ă©quilibrĂ©e. Bibliographie En ligneAgrikoliansky E., 2003, Usages choisis du droit le service juridique de la Ligue des droits de l’Homme 1970-1990 », SociĂ©tĂ©s contemporaines, n° 52, p. R., 2007, La discrimination nĂ©gative, Paris, Seuil, coll. La RĂ©publique des idĂ©es ».Delmas C., 2011, Sociologie politique de l’expertise, Paris, La DĂ©couverte, coll. RepĂšres ».Fassin D. dir., 2010, Les nouvelles frontiĂšres de la sociĂ©tĂ© française, Paris, La DĂ©couverte, coll. BibliothĂšque de l’Iris ».Gasparini W., 2000, Sociologie de l’organisation sportive, Paris, La DĂ©couverte, coll. RepĂšres ».Gusfield, 2009 [1982], La culture des problĂšmes publics, Paris, ligneHourcade N., 2000, L’engagement politique des supporters ultras’’ français. Retour sur des idĂ©es reçues », Politix, n° 50, p. 107-125. IsraĂ«l L., 2009, L’arme du droit, Paris, Presses de Sciences Po, coll. Contester ».En lignePoinsot M. et Bloch C., 2010, Des terrains aux tribunes sortir le racisme », Hommes & Migrations, n° 1285, p. M., 2009, Les discriminations ethno-raciales, Paris, La DĂ©couverte, coll. RepĂšres ».Tilly C., 986, La France conteste. De 1660 Ă  nos jours, Paris, Fayard. L’attaquant de l’équipe de France, nommĂ© ambassadeur contre le racisme par la FĂ©dĂ©ration internationale de Football FIFA, prend son rĂŽle au sĂ©rieux. PubliĂ© le 31 janvier 2005 Ă  000 Cet article a plus d'1 an ! ModifiĂ© le 02 septembre 2021 Ă  1620 La campagne anti-racisme de Thierry Henri vient de commencer. Il l’a nommĂ© Stand up, Speak up » c’est Ă  dire LĂšve toi, Parles-en ». 2,5 millions de bracelets blancs et noirs entremĂȘlĂ©s reprĂ©sentant la lutte contre le racisme seront mis en vente dans toute l’Europe Ă  partir du 6 fĂ©vrier pour 2 euros. Les bĂ©nĂ©fices seront donnĂ©es Ă  une association belge. Certaines Ă©quipes ont dĂ©cidĂ© de manifester aussi contre le racisme. Ainsi, les Ă©quipes des Pays-Bas, du Portugal et de la Russie joueront leur prochain match amical avec des maillots spĂ©ciaux, blancs et noirs. Pour faire connaĂźtre cette action, des publicitĂ©s ont Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©es dans chaque pays avec des joueurs des Ă©quipes nationales accompagnĂ©s de Thierry Henry et Ronaldinho. Claude Makelele et Philippe MexĂšs seront dans la publicitĂ© Henri espĂšre faire changer les mentalitĂ©s des supporters de foot racistes. L’attaquant français est encore marquĂ© par l’attitude de certains supporters espagnols qui avaient imitĂ© des cris de singes dĂšs qu’un joueur noir touchait le ballon, lors d’un match amical entre l’Angleterre et l’Espagne, en novembre 2004. Tu peux aussi lire Le sport lutte contre le racisme Sport Mort de George Floyd Pendant l’hymne amĂ©ricain, les joueurs et les entraĂźneurs des Utah Jazz et des New Orleans Pelicans ont effectuĂ© ce geste, devenu un symbole de contestation aprĂšs la mort de George Floyd. Les joueurs et les entraĂźneurs des Utah Jazz et des New Orleans Pelicans et les arbitres du match rouvrant la saison NBA, jeudi 30 juillet, ont posĂ© un genou Ă  terre pendant l’hymne amĂ©ricain, pour protester contre les injustices raciales. Comme ils en avaient pris l’engagement, les basketteurs Ă©voluant dans la ligue nord-amĂ©ricaine ont dĂ©cidĂ© de profiter de leur retour sur les parquets, Ă  l’intĂ©rieur de la bulle de Disney World Floride, pour afficher leur soutien au mouvement Black Lives Matter dans le sillage de la mort de George Floyd, asphyxiĂ© lors de son interpellation le 25 mai Ă  Minneapolis. Lire aussi Article rĂ©servĂ© Ă  nos abonnĂ©s Basket une reprise trĂšs politique pour la NBA Concertations pour agir Ă  l’unisson Ces derniers jours, les joueurs des 22 Ă©quipes qualifiĂ©es pour cette reprise trĂšs attendue du championnat, interrompu pendant plus de quatre mois Ă  cause du coronavirus, se sont concertĂ©s pour agir Ă  l’unisson. En soirĂ©e, le derby de Los Angeles entre les Lakers de LeBron James et les Clippers de Kawhi Leonard devrait ĂȘtre ainsi prĂ©cĂ©dĂ© des mĂȘmes gestes forts. Sur le parquet du HP Field House, une des trois salles de l’immense complexe ESPN World Wide of Sports, oĂč les matchs auront lieu Ă  huis clos jusqu’à mi-octobre, les principaux acteurs de ce Jazz-Pelicans se sont tous rassemblĂ©s le long de la ligne de touche. Ils revĂȘtaient le mĂȘme sweat-shirt noir avec Ă©crit dessus Black Lives Matter », des mots Ă©galement peints sur le parquet au-dessus du logo de la NBA. Lire aussi Violences policiĂšres et racisme la FĂ©dĂ©ration amĂ©ricaine de football autorise le genou Ă  terre Paix », je suis un homme », Ă©galitĂ© » AprĂšs s’ĂȘtre agenouillĂ©s, les joueurs ont commencĂ© la rencontre et chacun a remplacĂ©, comme la ligue les y autorise, son nom par un message sur son maillot. La jeune star de New Orleans, Zion Williamson, a choisi le mot Peace » paix, l’arriĂšre du Utah Mike Conley a optĂ© pour I’m a Man » je suis un homme et le Français Rudy Gobert, qui a inscrit le tout premier panier du match, pour Equality » Ă©galitĂ©. Ces deux derniers mois, les Etats-Unis ont Ă©tĂ© le théùtre de nombreuses manifestations contre l’injustice raciale et les brutalitĂ©s policiĂšres aprĂšs la mort de Floyd. Depuis, poser un genou Ă  terre est devenu un symbole de contestation adoptĂ© par les manifestants, parmi lesquels de trĂšs nombreux sportifs professionnels. Ce geste a Ă©tĂ© effectuĂ© pour la premiĂšre fois par l’ancien joueur de football amĂ©ricain Colin Kaepernick en 2016, qui rĂ©colta pour cela les insultes de Donald Trump. Lire aussi Mort de George Floyd que signifie le genou Ă  terre des manifestants ? Le Monde avec AFP Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil Ă  la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. DĂ©couvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil Ă  la fois ordinateur, tĂ©lĂ©phone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? 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