Ilne faut pas hésiter à solliciter toute l’aide dont vous pouvez disposer. Pensez à vous concerter dès le début de l’année avec un (e) camarade pour pouvoir récupérer les cours manqués. Pour garder bébé, prêter des affaires, faire un peu de ménage demandez un coup de main à votre entourage : famille, belle-famille, copains. Elles’est exprimée sur sa discographie, ses relations avec des artistes qui font –ou qui faisaient-sensation sur la scène nationale et internationale, ses débuts dans la musique, ses tenues sur scène (qui lui valent d’incompréhensibles diatribes sur les réseaux sociaux), la situation actuelle du droit d’auteur au Cameroun, sa vie de famille, etc. Léducation des enfants est parfois source de désaccords au sein d’un couple. Ces différences de vue peuvent se révéler une richesse pour l’enfant à condition qu’il puisse se référer à des valeurs communes. Extraits du dossier Parents & enfants “Papa dit oui, maman dit non”. Maman je t’aime, mais laisse-moi vivre ma vie. Par idriss_k. Le 09/02/2009. Kahina était une femme indépendante, passionnée de stylisme et de mode. Son chemin vers le prêt-à-porter haut de gamme était tout tracé. A 34 ans, elle se retrouve avec une sandwicherie à gérer dans le 92. Elle rêvait de beaux tissus et d’invention de Çafait un moment qu'elle me titille la sciatique mais pas au point que je la remarque franchement, ni que j'y prête attention. Avec le travail du matin, c'est presque autant physique que celui d'après-midi sauf que c'est différent, on fait plus de pansements entre autres donc c'est d'autre positionnement. Ontrouve des ressources qu'on n'imaginait pas. L'être humain s'habitue à tout », remarque Sophie. Être une superwoman, en somme, avant de se rendre compte qu'on ne peut pas tout gérer. Aujourd'hui dans une autre entreprise et mère d'un deuxième enfant, elle relativise : « Si une journée, j'ai une baisse de régime au travail, tant pis 1XcvgVz. 26 avril 2010 17h16 modifiée26 avril 2010 17h29 Hélène comment vous remettez vous de la disparition d'un proche? Il y a un an, le téléphone sonnait pour m'apprendre le décès de mon père avec lequel je m'entendais très bien...c'est très dur. surtout vu les circonstances dont je n'ai jusqu'alors jamais parlé ici, trop glauque...trop dur à raconter, impossible de le faire "en public".... Avez vous des "trucs" pour faire passer le deuil? comment réagissez vous? Merci de vos réponses. 26 avril 2010 17h30 gonzo c'est du cas par cas. je doute qu'il y aie une méthode pour ça. l'année dernière j'ai perdu ma mère. ça na pas été très dur à passer l'étape. mais j'ai eut des années noirs avant, qui font que, c'est mieux passé. ça fait parti de l'ordre des choses , même si c'est dur. et aussi surtout qu'ont à fait la paix de notre vivant. je vois pour mes frère , qui étaient en ça été plus dur. tu fait plus facilement le deuil de quelqu'un de proche, quand tu n'est plus en conflit. 26 avril 2010 17h30 modifiée26 avril 2010 17h31 Hélène Tiens, bizarre, j'avais mis rubrique "autre" et ça tombe sur rubrique "psychologie" quésaquo? on n'était pas en conflit, je suis plutôt en désaccord avec ma mère, mais ça date de très longtemps, c'est autre chose!! 26 avril 2010 17h31 gonzo c'est ton esprit qui te guide 26 avril 2010 17h32 Hélène Peut être... 26 avril 2010 17h33 gonzo esprit roukmoute, si tu est la, frappe 1 fois sinon deux fois !!! 26 avril 2010 17h34 Hélène toc! merci de me remonter le moral! 26 avril 2010 17h37 gonzo pas les dents !!!! 26 avril 2010 17h41 Hélène Tu ne lui ressembles pas...heureusement! 26 avril 2010 17h43 gonzo ba je le connais pas. c'est p'tete un type bien malgré qu'il fasse de la télé 26 avril 2010 17h43 Segel J'ai été élevé par ma grand-mère jusque vers l'age de 7 ans. Ca fait plus de 20 ans qu'elle n'est plus là, et elle me manque encore. Tu vois ça dépend vraiment de la relation que tu as eu avec la personne. 26 avril 2010 17h45 Hélène c'est clair, et l'environnement familial compte aussi, l'histoire personnelle, etc, etc... Je me dis que tout passe et que nous faisons tous partie d'un cycle, ça me console.... 26 avril 2010 17h50 gonzo ouais. faut savoir accepter, mais ça reste dur. et quand ça ne respecte pas le cycle, ont le ressent comme un injustice, et ça, c'est dur 26 avril 2010 17h56 Hélène Je crois que le plus dur ne fut pas sa disparition en tant que telle, car il était malade et je m'y attendais. 26 avril 2010 18h03 modifiée26 avril 2010 18h11 Segel Quelque part il faut avoir conscience qu'il subsiste une petite partie de la personne dans l'esprit de chacun de ses proches. Parfois on peut trouver des ressemblances lorsqu'on voit grandir les enfants des générations suivantes. On laisse tous une "empreinte" qu'on le veuille ou pas. 26 avril 2010 18h08 Hélène Bein, je lui ressemble beaucoup, ma soeur aussi, d'ailleurs on est souvent ensemble! pas physiquement, mais il nous a légué pas mal de traits de caractère. 26 avril 2010 18h18 Segel Déjà un an ! Je me souviens quand c'est arrivé. On a échangé à ce sujet. Je ne me rendais pas compte que c'était déjà si vieux que ça. L'être humain est programmé pour souffrir de ces choses là, c'est dans sa "nature" profonde d'être social. L'évolution a favorisé ce type de réaction, il faut donc l'assumer. Seul le temps permet de panser les blessures de ce genre. Je pense qu'il faut peut-être "célébrer" d'une manière appropriée, afin de planter un jalon. Ecoutes donc une musique qu'il aimait, lis un livre qu'il aimait, etc ... Un jalon ça symbolise le temps qui passe. 26 avril 2010 18h25 Hélène Oui, c'est une idée... En effet, je venais d'arriver sur QR, j'ai du l'apprendre alors que je répondais à une de tes questions...je me suis eclipsée par la suite. à ce moment, je ne savais pas qu'on pouvait modifier trop novice en sites! 26 avril 2010 18h39 Segel Ou bien se réunir entre proches, pour parler du défunt. Quelque part ça oblige à mettre en commun ce petit bout de lui que vous avez en chacun de vous. Au final c'est un peu comme si vous le faisiez revivre le temps d'une rencontre. Une forme de spiritisme informel en quelque sorte. C'est Victor Hugo d'ailleurs qui était adepte de spiritisme pour communiquer avec sa défunte fille il me semble. 26 avril 2010 18h50 modifiée26 avril 2010 18h51 Hélène On a fait ça ce week end avec ma soeur et son copain. sans se le dire d'ailleurs, mais ça revient un peu à ça. Nous sommes assez pudiques avec nos sentiments en règle générale, il n'y a pas d'effusion en public. Donc, nous avons passé une soirée à se marrer mais notre père était lui même comme ça, rire de tout, même du pire. Spiritisme, pas trop mon truc à vrai dire.... 26 avril 2010 18h57 modifiée26 avril 2010 19h06 . 26 avril 2010 19h01 Fabienne ? Bonjour, D'après mon toubib, c'est "un problème de psychiatrie", tu n'as pas dit "au revoir". Maman, trouvée morte le 01/12/2003, donc pas "d'au revoir" et pire, on n'a pas voulu me la montrer. Papa, décédé le 06/12/2003, il avait eu, une minute de lucidité, la dernière fois, que je l'ai vu vivant, "un message" a pu passer pas celui qu'il était veuf. J'ai REFUSE de le voir mort, parce qu'il avait toujours dit, qu'il ne voulait pas qu'on "l'exhibe". A ce jour, il me reste toujours des questions, concernant Maman et elles seront sans réponse pour toujours, tandis qu'avec Papa, c'est complètement différent. Il parait qu'on a un besoin vital d'avoir la certitude que la personne est morte, soit en disant "au revoir", soit en la voyant décédée. 26 avril 2010 19h03 modifiée26 avril 2010 19h08 Hélène Je te comprends Red Ton histoire est très différente de la mienne, bien sûr, je comprends que tu veuilles supprimer ton écrit après ma lecture. Paka, je n'ai pas vu mon père mort,juste le cercueil, mais je ne pense pas, pour moi en tout cas, que cela change quelque chose, car comme nous n'avons pas de religion, il s'est fait incinéré et les cendres dispersées. Même ma mère n'a pas vu le corps, c'est une de mes cousines qui l'a découvert. 26 avril 2010 19h07 modifiée26 avril 2010 19h08 Fabienne ? Pour rejoindre Red, mes Parents sont enterrés en "terre commune", normalement, ils seront exhumés, pour l'ossuaire, après un certain délai, en principe, la famille est avertie, bien avant que cela se fasse, mais ne peut pas assister à l'exhumation. J'ai obtenu, la certitude, que je pourrai assister à l'exhumation de Maman, s'il n'y a que des os à voir, je veux les voir. Enfin, si, je vis toujours à ce moment là. 26 avril 2010 19h09 Hélène Nos approches sont très différentes, c'est intéressant. 26 avril 2010 19h13 en fait, dans le monde moderne où tout doit aller vite, le deuil n' est plus assez validé, reconnu. or pas de deuil possible sans le temps. les sentiments sont extrêmement importants; ils devraient toujours être reconnus, entendus, vécus. certains vont écrire, d' autres peindre, d' autres pleurer, ou en parler je suis de cette dernière catégorie, je sais parler de ce que je vis facilement. c' est enfin quelque chose de très personnel, il n' y a pas à comparer, tout deuil est unique comme chacun est unique. ne pas se juger non plus, ni se réprimer, se dire qu' on est dingue etc; la mort est irrationnelle, elle échappera toujours à notre entendement. c' est un défi, le deuil aussi; toujours penser à s' apaiser encore et encore. 26 avril 2010 19h15 Fabienne ? Rouk je ne suis pas "religieuse", mais Maman était une "grenouille de bénitier", enterrée à l'église et pour Papa, j'ignorais, ce qu'il fallait faire et j'ai fait comme pour Maman, par souci d'équité, et si "ça ne convenait" pas à Papa, il n'avait qu'à "zapper". 26 avril 2010 19h17 Hélène Je suis plutôt du style à prendre un instrument de musique pour évacuer, ou à faire une grande balade dans la nature. 26 avril 2010 19h20 modifiée26 avril 2010 19h23 Cou'cou C'est le temps qui fait son oeuvre ; c'est vrai. Les proches auxquels je pense étaient des personnes de ma famille que j'aimais et réciproquement. J'ai continué à vivre, sans craindre de dire leurs noms, en pensant à eux souvent ils étaient même présents dans mes rêves. Pour certaines étapes importantes de ma vie, je me suis demandée ce qu'ils auraient pensé de ma façon d'agir. En fait, ils sont présents dans ma pensée, moins souvent qu'avant, mais toujours aux moments importants. 26 avril 2010 19h23 abra il y a un peu plus de douze ans, j'étais enceinte d'Arthur quand ma belle soeur est décédée d'un cancer, elle avait 34 ans et laissait un petit bout de 4 ans et une fillette de 11 ans. C'est horrible, elle était comme un soeur, c'était la plus forte, elle nous remontait le moral c'est un comble quand même. Il ne se passe pas une semaine sans que je pense à elle et pas un mois sans que j'en rêve. Pas très gai tout ça mais la vie continue cliché pour les enfants il faut se battre ; je crois que j'ai toujours pas fait le deuil. 26 avril 2010 19h24 Fabienne ? La mort de mon petit chien, ce mois-ci, a marqué, la fin véritable de l'histoire, c'était le petit chien de Maman et tant que le petit chien vivait, un peu de ma Maman survivait difficile à faire comprendre. 26 avril 2010 19h24 Hélène Le temps, toujours le temps, en effet..... Heu, Paka, il s'est passé un peu la même chose chez moi...mais pas dans des circonstances comme les tiennes. 26 avril 2010 19h27 abra je crois qu'on accepte pas de la même façon la disparition de nos proches, et parfois le temps passe mais ça a du mal à s'atténuer 26 avril 2010 19h29 Hélène J'ai perdu pas mal de gens que j'aimais beaucoup, mais lorsqu'il s'agit d'un parent, je crois qu'il y a toute une symbolique qui joue. C'est très différent en fait. 26 avril 2010 19h30 Fabienne ? Oui, tu me l'as expliqué. Celle qui doit avoir des problèmes avec ça, ce n'est pas toi, je dois dire, que ça me dépasse .... qu'on puisse faire ça. 26 avril 2010 19h38 Hélène Bein, oui....moi aussi, mais ça ne me surprend même pas en fait. 26 avril 2010 20h01 en fait, ici, comme pour n' importe quelle guérison, j' aurais envie de dire que tout les trucs sont bons, c' est pourquoi on dit souvent de ne pas juger. chacun sait à partir d' un certain moment ce qui lui convient ou pas. souvent, j' adresse la parole à mon chien par exemple; le fait d' entendre ma voix est une manière de me rappeller à moi même, mon vécu, la réalité. d' autres trouveront ça fou, moi pas. 26 avril 2010 21h29 modifiée26 avril 2010 21h30 Djabali Très difficile à aborder dans l'expérience de chacun conditionne des réactions parfois diamétralement opposées les unes aux autres. Personnellement, mon premier contact avec la mort en tout cas celui dont je suis conscient, fut après la mort de ma grand-tante. Je n'ai pas de souvenirs d'elle vivante, mais je sais que lorsqu'on m'a fait entrer dans la pièce où reposait son corps, je devais avoir une dizaine d'années, j'ai éclaté de rire. L'angoisse était évidemment beaucoup trop forte. Ensuite, j'ai été confronté à la mort de mes chattes et/ou de leurs petits. Heureusement, à partir de 11 ans j'ai découvert l'Égypte ancienne et suis devenu obsédé par l'Égypte puis ensuite par l'antiquité classique. C'est tout naturellement que j'ai entouré la mort de mes animaux de compagnie d'une foultitude de rituels. J'ai ainsi appris à gérer la mort, du moins l'objet que je m'en étais fait. En Palestine, trois de mes amis plus ou moins proches sont morts. Là-bas, c'était encore autre chose, la mort, nous vivions quasiment avec, entre les bombardements et les opérations militaires israéliennes. J'ai vu les bombes, les destructions, les balles, les blessés. J'ai toujours refusé de voir les morts, surtout les gens que je connaissais. J'ai d'ailleurs bien du mal à ressentir, comprendre qu'ils sont morts. Je ressens la même chose que si nous avions été séparés par des milliers de kilomètres, la même chose que je ressens pour les gens de qui je suis séparé aujourd'hui par des milliers de kilomètres. Il y a enfin les expériences de la mort que j'ai été obligé de subir. Là, je n'ai pas envie d'en parler... Je pense que ce qui est important, quelle que soit la situation, c'est le rituel. En Palestine, le deuil dure 40 jours. Pendant ces 40 jours, autour de la personne ou de la famille endeuillée, toute musique est interdite, toute fête ou réjouissance. Parfois, l'atmosphère est tellement pesante qu'il est impossible de parler de choses plaisante, de rire. Ça dépend des familles. 26 avril 2010 21h50 Segel J'aime la façon qu'ils ont de fêter le départ d'une personne à la Nouvelle Orléans. Parade en musique pour souhaiter "bon voyage" au défunt. Un mix d'influences française, anglaise, hispanique, créole, vaudou ... une façon unique. 26 avril 2010 21h55 Segel ; j' ai lu un jour qu' à la Nouvelle-Orleans ils fêtaient Noël déguisés; je trouvais ça très étrange, poétique, fabuleux. Djab ; j' aime bien tes partages souvent. 26 avril 2010 21h58 souvent je me suis demandé quelle musique pour mon enterrement. j' ai souvent pensé à un orchestre tzigane basse, violons, accordéon, .., comme dans les films de Toni Gatlif. 26 avril 2010 22h01 modifiée26 avril 2010 22h06 Hélène Merci à vous tous. 26 avril 2010 22h13 merci à toi aussi. 26 avril 2010 22h47 Djabali encore merci 27 avril 2010 09h15 Jean-Pierre ♫ 27 avril 2010 12h17 Fabienne ? Je ne sais pas, l'apaisement et l'acceptation viennent peut-être quand, on réalise avoir fait tout ce qu'on a pu, dans une situation donnée, sans se focaliser sur ce qu'on aurait voulu faire. Harry Potter 2005 ~¤~ Londres ~¤~ Rues de Londres Les DocksPage 1 sur 1Un orage n'est jamais loin [Abandonné]Malicia EvansPersonnel de Poudlard Un orage n'est jamais loin [Abandonné]Malicia Evans, le Lun 13 Avr - 034 AvertissementCe RP mentionne du contenu sensible Insultes/Vulgarité, Substances illicitesAfficher quand mêmeRP avec Angelina FrewliadSaison 31 - PrintempsLA accordéJ't'accorde mon LA tout le long du RPJe suis enfin seule. Je peux enfin me laisser aller. Je n’ai plus à faire semblant. C’est grisant. Je m’assoie au bord des docks, les pieds qui pendent dans le vide. Je ne fais pas attention aux autres autour de moi. De toute façon, est-ce que j’ai déjà fais attention une fois dans ma vie ? Je n’en suis vraiment pas sûre. Je regarde au loin comme si ça allait me donner la réponse. Et la réponse à quoi ? Aucune idée. Je crois que je suis paumée. Mais encore plus qu’auparavant. Je ne sais pas ce qui me pèse sur le coeur mais je sens que je suis bouffée par quelque chose d’inconnu ou même quelque chose de tellement connu que je préfère nier. Le déni, c’est une belle chose, non ? Je crois que j’en suis devenue la spécialiste au début de ma vie adulte. - Arrête de te prendre la tête, t’as une belle vie maintenant. Tu dois t’occuper de ton fils, ton compagnon est là et te soutiens. » Et alors ? Est-ce que c’était suffisant pour continuer à me donner le sourire ? Bah visiblement non. Toujours à faire semblant. J’en ai marre. M*rde. Pourquoi il faudrait que je fasse un effort ? Oui, oui je sais. Pour le petit. Il est né, j’ai plus le choix. » Je peux plus continuer à me détruire constamment. C’est pas une vie. Ni pour moi. Ni pour lui. Et puis, Damian il est là. Il essaie tant bien que mal de me soutenir et de m’éloigner de mes démons. Je ne peux pas lui faire subir ça constamment. Je jure que j’ai fais des efforts. Mais parfois c’est compliqué de se retenir. Le passé qui revient soudainement, qui me tire vers le fond. J’ai l’impression que c’est sans fin. Non mais je suis en train de devenir tarée. Je commence même à parler toute seule. Allez, t’es une adulte maintenant. T’es même une maman. Allez Malicia, on se reprend. » Je me redresse, tente tant bien que mal de remettre de l’ordre dans mes idées. Mais bordel. J’ai l’impression que je lutte contre moi-même. Je soupire, récupère un de mes produits préférés et l’avale sans plus de cérémonie. Oh et puis m*rde. On luttera plus tard. » Je me laisse aller. Ca reste quelque chose d’innocent. Je ne suis plus au même stade qu’avant, ce n’est plus aussi grave. Si ? Oh et puis, je m’en fous. J’ai envie de penser à moi pour l’instant. Ca serait pas si mal. Je crois. Enfin, je sais pas. Je ne suis sûre de rien. Oui, je suis définitivement plus paumée qu’avant. Foutus souvenirs qui refusent de me laisser en paix. Des pas me sortent de mes pensées. Même si les rues alentours sont pleines, il n’y a personne qui passent vers moi. Je relève la tête vers l’origine des pas, baissant mes lunettes de soleil Oui ? », je garde un sourire de façade, espérant secrètement qu’on ne vienne pas me dégager des docks. Angelina FrewliadPoufsouffle Re Un orage n'est jamais loin [Abandonné]Angelina Frewliad, le Lun 13 Avr - 2238 AvertissementCe RP mentionne du contenu sensible Substances illicitesAfficher quand mêmeSaison 31Printempsavec MaliciaLA accordé pour tous le RP Une lettre n'annonce pas toujours de bonnes nouvelles. T'avais reçu un courrier de ta sœur cadette, Maman allait pas très bien, Maman va rarement bien depuis le drame. Alors d'habitude t'avais le dessin pour décharger, les sorties pour vagabonder et t'occuper mais là c'était un peu trop pour toi. Pourquoi là t'avais pas réussi à gérer tu savais pas bien, peut-être parce que pour la première fois depuis longtemps tu sentais que ta sœur avait besoin de toi, vraiment, mais est ce que t'étais encore capable d'assumer à ce point ? Une heure, deux peut-être que t'avais cette fichue lettre dans les mains sans savoir quoi faire, tu voulais pas fuir mais t'avais besoin d'y réfléchir, retourner dans le manoir familial, revoir cette fenêtre, revoir ce jardin, tu savais pas si tu pouvais. T'avais toujours tout affronté à ce sujet, les regards, les commérages mais tu devais rester forte, Maman avait besoin de toi, Abril avait besoin de une bouteille t'avais tapé dans l’œil, vieille amie de galère. Alors c'était tout vu, aujourd'hui tu retombais dans tes travers, tu te laissais aller, juste une journée ça pouvait pas te tuer si ? Ta bouteille, un verre et le tour était joué, t'avais oublié pourquoi tu buvais, du moins tu te persuadais que t'avais oublié. T'avais fermé les yeux, chose à ne pas faire quand t'as de l'alcool dans le sang en cette quantité. Une main qui pousse, puis des cris, et c'était reparti, les images surgissaient, tu voulais pas les voir, tu voulais pas. Alors vite, les comprimés, bien cachés au fond de ton armoire. Tu les avais regardé longuement avant des les prendre, tu t'étais détachée de ça, il y a bien longtemps. Mais là c'était l'urgence, alors un nouveau verre pour avaler la pilule au sens propre comme littéral. Et maintenant c'était sacrément bruyant dans ton appartement, tout semblait raisonner, tu commençais à voir un peu trouble même. Tu savais que ça te tuerait pas ton mélange, tu l'avais fait dans le passé, une seule solution aller prendre l'air. Les docks, parfait pour respirer. Alors t'avais marché, combien de temps tu savais pas vraiment. Puis t'étais restée un peu en retrait mais t'avais entendu une femme, qui semblait être de ton âge ou pas loin, parler, seule. T'aurais aimé faire ça aussi, mais t'arrivais pas, alors juste t'avais écouté, c'était indiscret oui, mais t'avais ce sentiment que vous étiez un peu pareille perdue sur le fil du temps. Elle t'avait interpellé la femme parce que t'avais rien trouvé de mieux que de marcher dans sa direction, sans chanceler étonnamment, même si tes yeux renvoyait bien les abus de ta journée. Elle souriait, pourtant t'avais bien entendu, bien compris que c'était pas la joie alors vous savez, on a tous le droit de lâcher les chevaux, personne est parfait enfin je crois, puis vous avez l'air de l'aimer votre fils, faut pas vous en faire comme ça. Sans invitation tu t'étais assise à côté d'elle, après tout, vous aviez l'air dans le même état psychologique, c'était peut-être pas plus mal de rester ensemble ne serait-ce qu'un moment, dans le pire des cas elle te dirait de dégager. Malicia EvansPersonnel de Poudlard Re Un orage n'est jamais loin [Abandonné]Malicia Evans, le Mar 14 Avr - 209 AvertissementCe RP mentionne du contenu sensible Substances licitesAfficher quand mêmeJe regarde la femme, un léger sourire aux lèvres. Elle a les mots qu’il faut mais qui sonne aussi tellement faux. Elle ne me connait pas, elle ne sait pas à quel point je peux vriller, tout abandonner sans le moindre remord. Mais je ne peux pas lui en tenir rigueur, elle s’est juste rajoutée à la conversation. D’ailleurs quelle conversation ? Ce n’est juste qu’un face à face avec moi-même. Je suis loin d’être parfaite, je le sais et justement je le regrette. J’aimerais être une mère parfaite pour donner une vie fabuleuse à mon fils. Et plus ça va, plus j’ai peur de ne jamais y arriver. Et quand j’ai peur, ça me bouffe. Je me sens tourbillonner au coeur de ces émotions négatives. Et il n’y a rien qui arrive les calmer. Sauf mes travers. Je lutte contre ces démons depuis des années et il me suffit d’un peu de mal-être et je replonge directement. C’est n’importe quoi. Oui, je l’aime. Mais une famille ça peut tellement se détruire si facilement. J’ai peur d’en être la cause. » Ou j’en suis déjà la cause et je refuse de l’assumer. C’est compliqué. J'ai tenu pour le petit, j'ai lutté encore et encore pour au final, retomber dans mes travers aussi vite qu'à l'époque. Même si j'aime mon fils plus que tout au monde, je ne suis absolument pas capable de l'assumer. Nous avons fait une belle erreur. J'aime Enzo mais je me rends compte qu'il n'aura jamais la vie qu'il mérite. Je ne pourrais pas lui donner. M*rde. Quelle mère je fais. Je la regarde s’asseoir à mes côtés. Je remarque ses yeux vitreux et je comprends qu’elle est dans le même état que moi. Dure journée ? » Pourquoi est-ce que je pose la question, ça me semble évident. On ne va pas bien aujourd’hui, il faut pas être devin pour le remarquer. Ma poche me démange. J’ai encore envie d’abuser. J’ai l’impression de ne jamais en avoir assez. C’est quand même fou. Alors c’est ça, la toxicomanie ? Ne jamais être rassasiée. Ne jamais vouloir arrêter. Même quand on sait que tout ça nous détruit ? Quel bordel cette histoire. Je me trouve n’importe quelle excuse pour pouvoir me niqu*r les neurones. Tu crois qu’un jour… ouais je te tutoie, ça te dérange pas ? On est dans la même galère après tout… Enfin j’disais tu crois qu’un jour on pourra lâcher tout ce qui pèse sans passer notre temps à nous blesser ? » J’aimerais y arriver. Pouvoir lâcher ce que je ressens, ce que je pense sans m’effondrer dans la minute qui suit. Pourquoi est-ce que j’ai l’impression de ne pas en être capable ? Le passé est si compliqué à assumer ? Pourquoi est-ce que je suis la seule de mon entourage à galérer à ce point ? Les autres le cachent peut être mieux ? Aucune idée. Discrètement, je récupère une bouteille de mon liquide ambré préféré et sans réfléchir, j’en bois quelques gorgées avant d’en proposer à la jeune femme à mes côtés. Je pensais pas vouloir d'une compagnie mais finalement sa présence me fait un peu de bien. Ca faisait longtemps que je n'avais pas rencontré quelqu'un qui pouvait comprendre, qui pouvait juste être là sans me donner des conseils bidons et sans intérêts. Quelqu'un dans la même détresse émotionnelle que la mienne. Angelina FrewliadPoufsouffle Re Un orage n'est jamais loin [Abandonné]Angelina Frewliad, le Mer 15 Avr - 1831 AvertissementCe RP mentionne du contenu sensible Substances licitesAfficher quand même Un regard et un sourire qui ne trompe pas, elle était triste cette femme, encore une âme brisée par son passé sûrement, après tout, t'étais comme elle, ou elle était comme toi, fusion de deux êtres qui se sentent incompris. Tu la regardais depuis un moment, depuis qu'elle s'était mise à parler, seule apparemment parce qu'il y avait personne qui s'arrêtait sur elle, sur toi, sur elle avait répondu, au moins elle ne t'avait pas viré c'était une chose de prise, parce que là t'avais pas envie de retourner à ta solitude, ça pèse d'être seule parfois. Pourtant sa réponse te faisait frémir, la famille c'est si fragile oui. La tienne elle avait valsé en éclat il y a bien longtemps alors t'en savais quelque chose. Au final tu t'en étais pas si mal sortie, fallait juste bien regarder ce que ça aurait pu donner. C'était pas aux autres de faire tout le boulot après tout, c'était ta responsabilité aussi de devenir ce que tu voulais, c'était ta vie après tout. Alors pendant qu'elle t'observait l'inconnue t'avais qu'une idée en tête, la rassurer, lui dire que tout allait bien, que rien n'était grave, mais pas avec des mots futiles qui sont là pour faire jolis, plutôt en questionnant parce que vous pensez qu'un homicide et un suicide c'est une destruction ou une renaissance pour se libérer d'un truc ? Enfin j'crois que j'ai jamais tenu pour responsable ma famille, l'amour ça vaut tout. Vous lui donnez de l'amour, ça a l'air, puis au pire regardez j'en ai pas beaucoup eu et je suis pas en trop en mauvais état, bon sauf aujourd'hui...Comme elle l'avait souligné après, la journée avait été dure oui. Une compréhension, elle t'a regardé en disant ces mots et t'as sentie qu'elle savait déjà, qu'elle était comme toi, perdue, entre abus et raison. C'est pas simple comme situation, tu savais pas quel hémisphère de ton cerveau étriqué fallait que tu écoutes. Elle devait être pareil vu les questions qu'elle se posait. Le tutoiement était de mise quand on se retrouve dans cette galère qu'est la vie sans se connaître mais en partageant tant de choses en même temps. Ces mots raisonnent en toi, est ce qu'il est possible de tout envoyer valser derrière soit, se décharger ? A vrai dire t'étais dans le même questionnement, tu voulais pas replonger, tu voulais pas. Mais tes devoirs t'appelaient, comme pour te rappeler que t'avais vécu tout ça, que tu t'étais sentie responsable et que c'était justifié. Ta vie c'était parfois le bonheur, le reste du temps un rêve chaotique et ininterrompu où tout s'enchaînant, sans ordres ni priorités. Au final t'étais pas seule à penser à tout ça, c'est cool, c'est presque grisant de voir que quelqu'un te comprenais, sans forcément tout étaler, sans te dire que tout allait bien se passer. Puis elle t'avait offert le partage autour de sa bouteille, comme si boire ce truc ça allait diviser la peine en deux, que vous alliez communier presque. Alors t'avais avalé une grande gorgée, ça pique mais ça fait sentir vivante, et au final j'pense qu'on peut se tutoyer oui, et je sais pas si un jour on pourra tout lâcher, il y a toujours un truc qui te rappelle à tout ça, faut juste trouver une sorte d'armure qui empêche de sentir les blessures, mais ça je crois que ça existe pas encore. T'avais redonné sa bouteille à la femme à tes côtés, pas pour continuer à s’enivrer pour s'amuser ou oublier mais pour sceller ce moment, moment où t'espérais pas tout résoudre, juste partager parce que comment on fait quand on se sent responsable de la mort de deux personnes qu'on a aimait ? Quand on se dit qu'on aurait pas été sur cette Terre la vie de 4 personnes seraient meilleure ? Main dans la poche, t'avais sorti tes cachets, t'en avait repris un, fallait faire passer la édition par Angelina Frewliad le Jeu 16 Avr - 831, édité 2 fois Malicia EvansPersonnel de Poudlard Re Un orage n'est jamais loin [Abandonné]Malicia Evans, le Jeu 16 Avr - 252 AvertissementCe RP mentionne du contenu sensible Substances illicitesAfficher quand mêmeJe suis terrorisée. Je crois que j’ai peur d’aller mieux. En réalité, c’est quelque chose que je ne connais pas. Je connais l’autodestruction, je connais le mal-être, je connais la colère. Mais la joie, l’amour je ne connais pas. Je la maîtrise en façade parce que j’ai dû apprendre à m’adapter mais rien de plus. Le passé me rattrape toujours. Alors, parfois je décide d’arrêter de courir, parce que j’en ai marre de fuir. J’ai l’impression d’avoir passé ma vie à fuir quelque chose d’immatériel. Et plus ça va, plus je me rend compte que je suis loin d’être la seule. Il y a sûrement des personnes qui le cachent mieux que d’autres, je n’en fais définitivement pas partie. J’aimerais ne plus rien ressentir, j’aimerais que mon âme soit enfin apaisée mais pour ça, je ne suis pas sûre qu’arrêter de ressentir les blessures soit judicieux. Un jour l’armure ne fonctionnera plus et on revivra tous ces souvenirs avec violence. Ces blessures seront toujours là et on repartira dans ce même cercle vicieux. En fait, peut-être qu’une fois blessé on ne peut plus aller mieux ? Nous ne sommes plus qu’un mensonge aux yeux des autres. Nous montrons un aspect de nous bien loin de la réalité. Parce qu’il le faut. Parce qu’on ne peut pas être triste et torturé continuellement. On finit par s’isoler. Et une fois seul, elles, elles sont là. Les substances. Quand tu n’as plus personnes, quand tu ne vois plus aucune issues, elles sont là, elles font taire toute cette douleur pour un temps. Elles t’éloignent de cette solitude. Elles sont là, elles. Mais elles finissent par devenir meurtrières. Elles ne t’aident plus. Et de là, on se sent coupable. Coupable d’avoir commencé. Coupable d’avoir succombé. Coupable d’être mal. Coupable de ne pas être à la hauteur. Je récupère la bouteille pour la ranger dans mon sac, aussi rapidement que je l’avais culpabilité est destructrice. Elle se nourrit de nous et nous vide. C’est si compliqué de s’en débarrasser. Je cueille tes mots en même temps que ta détresse. J’en ressens même les émotions. Je ne sais pas comment se débarrasser cde cette culpabilité, je ne sais même pas vivre avec. Mais je crois fermement qu’elle est l’expression la plus sincère de l’amour qu’on porte à nos proches. Notre vie sera toujours faites de haut et de bas, il y aura toujours la vie et la mort. Et je pense qu’il faut se concentrer sur ce que vous avez vécu de positif », ne pas oublier la fin tragique mais se dire que leur temps était écoulé, à la manière d’un sablier. Nous sommes missionnés sur Terre dans un but particulier. Où leurs vies auraient pu être bien pire. Je pense que vivre au conditionnel est bien trop destructeur. » Je regarde les comprimés, l’oeil brillant, les doigts picotant. J’aimerais pouvoir me retenir mais je sens mes muscles se tendre d’appréhension. L’envie me prendre aux tripes, ça me brûle jusque dans les veines. Alors je récupère ma cuillère et la poudre moldu que je m’empresse d’amener à ma narine. Je n’arrive même plus à déterminer si c’est seulement mon corps qui en a besoin ou seulement moi qui en ait envie. La seule chose dont on est vraiment responsable, c’est nous. » Mais un jour, nous irons mieux. Je veux y aujourd’hui, on se laisse verra après. Angelina FrewliadPoufsouffle Re Un orage n'est jamais loin [Abandonné]Angelina Frewliad, le Lun 20 Avr - 1523 Se concentrer sur le positif, ça t'avait fait sourire, parce que l'une comme l'autre vous étiez trop paumées à cet instant pour penser positif. C'est drôle comme l'être humain sait ce qu'il devrait faire, mais comme il peut être tétaniser devant ses douleurs et blessures. A vrai dire, t'avais pas vécu beaucoup de positif avec ton frère, c'était dispute sur dispute, comparaison de caractère, d'intelligence, de tout. Il serait tout et toi te ne seras rien, voilà ce que c'était son avis. Puis il y avait eu un rapprochement, t'avais cru bien faire en entrant dans son monde, peut-être que secrètement t'aurais voulu le sauver. Au final, c'était pas des gens qu'il fréquentait qu'il aurait fallu le sauver, mais de lui père était devenu fou en te voyant rentrer en te tenant l'épaule, c'était d'ailleurs un miracle que tu en ais gardé qu'une cicatrice, imposante, mais t'avais ton bras. T'avais par contre perdu un frère et un père. C'est sûr que leurs vies auraient pu être bien pire, ton père avait réalisé son rêve d'idéal fonder une famille et vivre de sa passion. Mais qu'est ce qu'il en restait de tout ça ? Des ruines. Ruines de souvenirs qui s’effondraient brique par brique à mesure que Maman pourrissait dans ce manoir. Etre seulement responsable de soi même, c'était vrai. Mais t'étais responsable ce soir là, de t'être laissée embarquer dans un plan galère. T'avais trop bu, t'étais pas dans un état qu'on qualifierait de présentable, alors la bande de ton frère te paraissait sympa, t'avais commencé à bien discuter avec un des garçons. Il te faisait rire, il était sympa mais ton frère te regardait d'un mauvais œil. Toi t'avais rien voulu faire de mal, je voulais juste m'intégrer à sa bande, à mon frère tu vois, mieux m'entendre avec lui, mais il a vrillé. Alors que tu dis ces mots tu te touches l'omoplate gauche, tu ressens encore la douleur parfois, comme si son âme était encore ici, en train de te que oui, d'après lui t'étais allé trop loin, tu voulais lui voler la vedette, tu voulais lui prendre tout ce qu'il avait. Est-ce que c'était l'alcool ou bien juste lui qui devenait fou ? T'en savais rien, tu le saurais jamais. Enfin bref, il t'avait attrapé par les cheveux, une fois au sol tu lui avais demandé d'arrêter, certains de ses amis avaient aussi voulu le calmer, peine perdue, une fois déchaîné, t'avais juste subi, en hurlant à la mort parce qu'il avait martelait ta chair, à vif désormais. Le bras pendant t'étais partie, rentrer coûte que coûte au manoir, ne pas en parler à Papa. Papa serait furieux. Sauf que manque de bol t'avais pas pu l'éviter, t'avais mis trop de temps à rentrer, il était réveillé, il vous attendait pour vous faire la moral sur les sorties. Des cris, des pleurs de Maman, et Papa. Papa qui avait juré qu'il retrouverait grand frère, mais il fallait te soigner, tu saignais beaucoup. Puis quelques jours après ça, il était rentré à la maison ce fameux frère, ton père lui était tombé dessus, et on connait l'histoire qui suit. Une dispute, une bagarre, une fenêtre deux morts. Tu avais un sourire en coin, au final c'était triste, mais t'étais dans un état second qui te faisait trouver ça presque risible parce que j'étais jeune, trop jeune pour comprendre que parfois faut pas tenter de sauver le diable, je l'aimais hein, faut pas croire, mais c'est compliqué de lui trouver une excuse d'avoir tué Papa tu vois ? Pardon, j'te raconte ça mais c'est mes histoires, toi aussi tu dois avoir ton lot de galères... Après tout, tu venais sans t'en rendre compte de lui expliquer dans les grandes lignes pourquoi des démons te hantaient, si elle voulait elle pouvait faire de même, t'avais de bonnes oreilles et puis on se foutait du temps qu'on passait ici non ? Tant qu'on y était bien, enfin ce qu'on peut appeler aller bien dans votre cas. Malicia EvansPersonnel de Poudlard Re Un orage n'est jamais loin [Abandonné]Malicia Evans, le Jeu 30 Avr - 1944 retard, retard, sorryyyy Est-ce que tu aurais pu y croire une seconde ? De tomber sur quelqu’un d’aussi torturée que toi. Vous n’êtes probablement pas torturée tout le temps mais il y a des jours où vous sombrez. Maintenant en l’occurence. Encore rencontrer quelqu’un avec un passé douloureux, ça pouvait sembler commun. Mais que tout cela se passe à un moment où vous n’êtes pas bien en même temps. Faut avouer que ce n’est pas anodin. Sans comprendre pourquoi, tu cueilles ses mots. Tu écoutes. Tu comprends. Comme tu l’as toujours fait. Des mots d’une jeune enfant blessée par la vie. Elle semblait bien avoir ton âge mais la douleur qu’elle te renvoyait, te faisait penser à une jeune fille. Une petite soeur qui fait tout se faire accepter, qui cherche contre toute attente l’approbation de son frère. Mais a quoi bon chercher à se faire accepter par quelqu’un qui visiblement ne le voudra jamais. Tu finis par te blesser. Et oui, ça ne sert à rien de sauver quelqu’un qui ne veut pas l’être. Tu as fini par le comprendre plus tard. Tu t’es acharnée à aider, à chasser les démons des autres, peut-être avec l’idée derrière qu’on le fasse pour toi. Parce que dans ton cas, tu n’arrives pas à te sauver. Aider les autres, c’est toujours plus simple que s’aider soi. Et tu n’y arrives pas. Tu n’es peut-être pas destinée à aller mieux ? Oui, un moment tu as cru que tout allait passer, parce que tu as rencontré les personnes qu’il faut, qui foutent des claques, qui te font avancer, qui te font parler. Des années sont passées avant que tu parles vraiment, en toute sincérité. Une sincérité qui brûle moins la langue, j’ai été abandonnée par mes parents, jeune » trop jeune. Cinq ans tu te fais jeter par ta famille biologique, tu termines en foyer pour te faire adopter par un couple charmant. Seulement un temps. Parce qu’une fois que tu découvres que tu es une sorcière, ils t’abandonnent à leur tour. Une jeune fille de onze ans livrée à elle-même. Je me suis isolée, c'était plus simple, plus sûr. » Seule, tu étais sûre de ne pas être déçue. Tu ne voulais plus être abandonnée, eh oui, tu ne pouvais plus être atteinte par la cruauté des autres. Mais non, des inconnus m’ont agressés, à 17 ans. » et là tu as commencé à t’abandonner toi-même. Ton corps lui-même s’est laissé faire alors que tu ne voulais pas. Alors à qui tu peux faire confiance ? Personne. Même pas toi. Tu aurais préférée mourir. Tu ne souffrirais plus maintenant, plus qu’un lointain souvenir. J’arrive pas à oublier. » Tu ne pourras jamais. Et tu le sais mais tu n’arrives pas à passer au-dessus non plus. Alors comment on fait ? Tu te retrouves dans une impasse. Maintenant, je suis maman et je fais comme si tout allait bien pour mon fils », parce que tu lui dois et que tu ne peux plus continuer ainsi. Alors tu souris, doucement, balancé légèrement tes jambes dans le vide, fixant l’horizon ne t’excuses pas de me raconter tes histoires, parfois ça fait du bien de lâcher. Des galères différentes mais tout aussi pesantes. » Tu l’as regarde alors, tes yeux bleus sans lueur, froids, indifférents mais un léger sourire transperce toute cette noirceur dans le regard. On continue de vivre malgré tout. Angelina FrewliadPoufsouffle Re Un orage n'est jamais loin [Abandonné]Angelina Frewliad, le Dim 24 Mai - 100 J'suis outrée par mon retard, désolée désolée désoléeD'ordinaire tu souriais, tu embrassais la vie depuis ce jour où elle t'avait épargnée, tu portais sur ton omoplate le souvenir de ce que tu devais au destin. Enfin, du moins tu y avais cru au départ au destin, au final le destin ça n'existe sûrement pas, suffisait juste d'être né au bon endroit, au bon moment. Visiblement la blonde était comme toi sur ce point, vous étiez pas tombées au bon moment ni même au bon endroit. Ce qu'elle te racontait c'était dur, tellement dur qu'elle semblait être immunisée, du moins elle ne laissait plus rien paraître. C'était presque une performance, quelque chose qu'il faut applaudir parce que peu de gens pouvaient survivre à tout ça, elle l'avait fait envers et contre bois ses paroles, tu comprends sa peine parce que bien que les histoires soient différentes, tu as acquiescé sa remarque de la tête, ces histoires elles pèsent. Fallait pas se laisser aller, tu regardais la blonde te sourire, avant de continuer à constater qu'on a des vies moisies, moi c'est Angelina, et toi tu t'appelles comment ? Après tout, t'avais cette sensation que vous étiez amenées à vous recroiser prochainement, parce qu'elle ne disparaîtrait pas dans l'oubli, elle avait un fils, quelqu'un pour qui il fallait continuer de vivre, ton fils a besoin de toi pour pas vivre ce que t'as vécu, pis aussi parce qu'il t'aimera toujours inconditionnellement, il paraît que les enfants sont les meilleurs pour ça, un léger sourire, ça te donnerait presque envie d'en avoir là, maintenant, ou bientôt, enfin tu verrais t'étais reposée sur tes coudes, regardant le ciel, c'était une page blanche pour toi, tu pourrais faire ce que tu veux dedans, si c'était si facile de faire ça avec la vie, tous les jours on effaçait et on recommençait tout, t'imagines si on pouvait tout effacer et faire table rase du passé, tu tournes la tête pour la regarder, tu voudrais toi tout effacer ? Oublier tout ça quitte à perdre une partie de ce que tu es devenue aujourd'hui ? En y réfléchissant tu le voudrais pas, parce que pour avancer t'avais besoin d'accepter, accepter que tout n'était pas rose que rien n'était facile ni gagné, mais que tout ce qui pouvait être pris méritait de l'être, l'espoir pouvait toujours renaître. Re Un orage n'est jamais loin [Abandonné]Contenu sponsorisé, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum Alice répondu il y a 4 ans Bonjour, ça n’arrive qu’à nous? Personne pour un conseil… Merci! Anne répondu il y a 4 ans Bonjour Alice, je suis maman d’une petite fille de 5 ans. Aux alentours de ses 3 ans, il y a eu des moments où elle m’écartait et ne voulait que son papa. Même si je savais que c’était une attitude très courante chez une petite fille à cet âge-là, je l’ai parfois vécu très mal, donc je comprends ce que vous ressentez. En revanche, mon mari et moi étions tous les deux très présents à la maison, aucun de nous deux ne s’absentait particulièrement, comme c’est le cas pour vous. Et c’est pourquoi je pense que vous devriez relativiser un peu et voir aussi le côté positif du comportement de votre enfant. Car votre enfant ne vous rejette pas. Vous même vous dites que ça se passe plutôt très bien quand votre mari est absent. En réalité, votre enfant il sait que vous êtes là pour lui tout le temps, il ne se pose même pas la question. Mais il a compris aussi que son papa risque de ne pas être là pour lui tout le temps et du coup quand il est là votre enfant veut profiter de lui au maximum. Ne pensez vous pas que cela est positif ? ça veut peut-être dire que la relation entre votre enfant et votre mari est vraiment très forte et belle. Et quand votre enfant vous dit “demain c’est maman”, il le pense mais pour un enfant de 3 ans “demain” est une notion très abstraite qui veut parfois juste désigner quelque chose qui se passera dans le futur. ça veut donc peut-être juste dire que lorsque vous serez à nouveau que tous les deux c’est vous qui vous occuperez de lui. Votre enfant a, selon moi, une logique imparable 🙂 Vous pourriez peut-être profiter de ces moments où votre mari et votre enfant sont ensemble pour faire quelque chose pour vous qui vous fasse vraiment plaisir, qui vous redonne de l’énergie, et que vous n’avez pas plus trop le temps de faire. Votre enfant doit vous sentir zen pour être rassuré. Moi, le jour où j’ai arrêté de me prendre la tête parce que ma fille m’écartait parfois de la relation qu’elle avait avec son père, les choses se sont vite améliorées. J’ai peut-être été trop longue, désolée…. Sofie répondu il y a 4 ans Bonjour, je suis dans une situation similaire. Je suis enceinte de 8mois et je n’arrive plus à avoir de la distance avec les réactions de mon fils de bientôt 4ans , je m’énerve, je lui dit que je vais partir… Je réagis très mal et très intensément. En même temps dès qu’il se lève il dit non pas maman, tu viens pas au parc avec nous, t es pas belle, t es méchante, tu restes ici tu viens pas au parc avec nous etc cela me provoque des crises de pleurs horribles, je me sens inutile et rejettee, en plus je ne peux plus le porter, ni jouer dehors avec lui car j’ai beaucoup de contractions. C’est une situation très difficile, pour le papa aussi, il dit que je dramatise mais je n’arrive pas à prendre la distance nécessaire pour ne pas prendre les choses trop à cœur. Flo répondu il y a 2 ans Bonsoir ce post date mais je suis dans la même situation. Est ce que ça s’est arrangé ? Comment avez vous fais ? Flo répondu il y a 2 ans Bonsoir ce post date mais je suis dans la même situation. Est ce que ça s’est arrangé ? Comment avez vous fais ? Alexandra répondu il y a 2 ans Cela est dommage de pas avoir plus de témoignages car je suis dans la même situation mais inversée ! Il s’agit de ma fille 4 ans qui rejette son père et de temps à autre, veut bien jouer avec lui mais refuse catégoriquement les soins, c’est très dur à vivre…! Courage Julie répondu il y a 2 ans Bonjour, je me trouve dans la même situation, j’ai des jumelles de 2ans, depuis 1 an environ 1 de mes filles me rejette totalement, elle ne veut jamais que je l’habille, la porte, l’installe pour manger, la couche etc.. Sa sœur elle est très proche de moi et a un comportement normal. Je suis désemparée sachant que cela fait plus d’1 an que la situation dure et que c’est tous les jours sans exception ! Ma pédiatre est assee fermé à la discussion, pas à l’écoute, expédie les consultations. J’ai l’impression qu’on ne s’en sortira jamais. Si quelqu’un passe par là et a des pistes à explorer. Merci ? Laëtitia répondu il y a 1 an Je suis dans la même situation mais inversée, mon fils est accroché à moi et quand son père veut s’occuper de lui, si je suis présente , il ne veut rien faire avec son père. Il est capable de se priver de loisirs pour ne pas rester avec lui . Mon fils a 5 ans et la situation empire. Alors papa est très ferme et moi plus cool en éducation peut-être que du coup , il élimine en quelque sorte son père si je suis là Morgane répondu il y a 1 an Bonjour, je suis tombée sur vos commentaires en surfant sur le sujet car je suis également concernée depuis plusieurs mois par cette situation. Depuis 1 an environ mon petit garçon ne jure que par son papa. Au départ j’arrivais à prendre du recul par rapport à cette situation en me disant que ça passerait. Mais depuis quelques semaines mon fils qui a 2 ans et de plus en plus repoussant. Avant c’était uniquement des non lorsque son papa était présent mais lorsque j’étais seule avec lui il acceptait parfaitement mon aide et ma présence. Mais depuis quelques semaines dès le matin j’essuie des colères importantes lorsque je suis seule avec lui pour le préparer et que son papa est au travail. Et c’est la même chose tout au long de la journée dès qu’il s’agit de changer une couche, aller à la sieste, etc… Nous partageons toujours des moments de jeu et de rigolade mais voilà tous les moments de soins sont très compliqués lorsque je m’occupe de lui. Ce n’est pas facile. De savoir que la situation a fini par s’arranger pour vous pourrais être un bon coup de pouce pour le morale car je sais qu’il ne faut pas baisser les bras mais ce n’est pas facile psychologiquement d’être rejetée par son enfant. Christelle répondu il y a 11 mois Je suis maman d’une petite louloute de 4 ans qui est très proche de son papa mais le rejette au moment du coucher ou si elle appelle la nuit. Son papa fait mes deux huit et ne vit pas très bien cette phase de rejet. J’essaye de les ´pousser’ à se retrouver tous les deux mais ça n’est pas simple. Avez-vous déjà vécu quelques chose de similaire ? Emy répondu il y a 11 mois Bonjour, Je tombe également sur ce post et vos commentaires. Maman d’un petit garçon de 3 ans, je vis la même situation depuis toujours, mon fils est très proche de son père mais, depuis 6 mois, il a basculé dans un “rejet” de sa maman il me crie dessus, essaie de me taper, hurle quand nous répondons “C’est maman” à l’une de ses nombreuses questions “Qui me couche ? me lave ? vient me chercher ?” etc. Je me suis toujours dit qu’il devait y avoir un lien avec les circonstances de sa naissance, puisque mon fils est né en urgence, par césarienne, et comme j’étais en salle de réveil/récupération, il a vécu ses 2 premières heures en peau à peau avec son père. Je crois pourtant être une mère aimante, présente et attentionnée. C’est très perturbant et blessant, même si bien sûr je ne doute pas une seconde que mon fils n’a aucune “mauvaise intention”. 9 fois sur 10, je prends sur moi ; mais j’avoue que la 10ème fois est souvent…éreintante. AURIEZ-VOUS DE BONS CONSEILS pour réagir / agir / enrayer ce type de comportements ? Merci, par avance Didier répondu il y a 10 mois Bonjour tous le monde, j’espère que vos situation se sont améliorées. Je suis papa d’une petite beauté de 2,5 ans. Sa première année, elle l’a beaucoup passé avec sa mère durant son congé maternité plus phase de reconversion professionnel. Moi je continuais à travailler. Ma fille me rejetait pour les calins, biberons nocturnes. J’avais le droit quand même aux jeux où j’étais le seul à pouvoir me rouler sur le tapis avec elle. Mais je souffrais de ne pas pouvoir la calmer quand elle pleurait … J’ai alors continué à m’occuper d’elle sans lui imposer ma présence en penant sur moi. Je pense que ça l’a interpelée et l’inverse s’est produit. Elle ne voyait que par moi. Et ceci s’est renforcé avec l’entrée en crèche. Ayant un bon contact avec les enfants quand je m’occupais d’autres enfants, elle avait ce sentiment de jalousie. ” c’est mon papa” disait elle. Sa maman a repris une activité professionnelle et elle fait de moins la voir, l’a tournée vers sa maman. Maman tout le temps. Elle est où maman. Je pense que les enfants ne savent pas gérer leurs emotions et se fie à leur propre ressenti . Je pense qu’ils captent le ressentiment de ses parents et beaucoup d’autres choses que l’on soupçonne même pas et peuvent en jouer. Un peu comme nous adulte sans savoir ce que leur rejet provoque réellement pour nous. Et c’est normal. Pour revenir à mon histoire, sa maman a le sentiment d’abandon lorsqu’elles sont toutes les 2. Apparemment elle me demande tout le temps. Elle fait pareille avec moi quand nous sommes que tous les 2. Du coup sa maman s’est mise en position de “soumission “. C’est à dire ferme mais vraiment vraiment pas du tout. Négociations, achat de jouets compulsifs… Ma fille a commencé à faire des crises avec elle, taper, mordre et rejets ponctuels. Quand on est tous les 3 elle rentre plus facilement dans ces états avec sa maman. Même si elle me fait des crises de temps en temps, ça ne dure pas longtemps. Après une bonne prise de tête où je la sensibilise sur mes limites d’être humain, elle cherche à renouer contact avec un sourire prononcé. Finalement pour moi ça va mieux depuis que je me montre tel que je suis réellement, sans me dire qu’elle est trop petite pour comprendre et que je ne me focalise plus sur les rejets qu’elle peut avoir pour moi. Je sais que j’ai une place dans sa vie et je sais qu’elle sait que je l’aime je lui dit toujours Voilà une synthèse de mon témoignage simplement personnel J’espère que cela sera utile à quelqu’un. Caro répondu il y a 10 mois Bonjour Cest rassurant de ne pas se sentir seule en lisant tous ces temoignages. Je suis dans la meme situation avec mon fils de 2 ans , je suis a la fin de mon conge parental d’un an, je suis tout le temps avec lui, je lui dedie quasiment toute la journee et depuis quelques semaines il me rejette, des que je le prends il hurle et veut son papa alors qu’a la maison cest moi qui gere tout depuis 1 an . Cest tres frustrant pour une maman, il ne me fait jamais de calins, pourtant nous partageons plein de choses . Jai le sentiment quil ne m’aime pas et c’est tres dur car avec son pere cest le contraire il ne voit que par lui, c’est son hero , il veut tout faire avec lui . Parfois quand je lui demande un calin il me dit non et se tourne vers son pere pour lui faire a lui . Je me dis qu’il a lintelligence de me narguer et s’il fait ca volontairement c’est quil a peu damour pour moi . Cest vraiment dur de ne pas ressentir d’amour de son enfant … FPH répondu il y a 8 mois Bonjour si qqun peut me donner son avis. J’ai un garçon de 2 ans et demi et depuis près d’un an déjà il a une préférence pour son papa j’étais enceinte mais là c’est vraiment fort. Il ne veut pas me faire de câlins il ne veut même pas que je l’habille ou que je lui change la couche. Je suis très frustrée car je suis jalouse et j’aimerais un moment avec mon fils. J’ai l’impression qu’il ne m’aime pas. Tout le monde me dit que surtout à cet âge il devrait préférer sa maman.. Darius_Malibu répondu il y a 8 mois Petit post, pour vous souhaiter à toutes et tous bon courage… Dans l’histoire, j’ai le bon rôle, je suis le papa et le petit ans ne fait que de rejeter sa maman, de façon assez violente. Elle est pourtant super présente, tant sur le plan sentimentale que logistique… À vous lire toutes et tous on se rend compte que nous ne sommes pas isolé mais ça ne rend pas la chose plus facile à vivre pour autant…. je n’ai aucun conseil à donner. tout ça finira par passer, très vite on l’espère… Je voulais surtout mettre ce message car je sais que ma femme le lira, et je voulais lui dire que c’était une maman extraordinaire. Je t’aime mon p’tit cul ! Ps de mon côté je vais faire un effort sur le linge que je laisse traîner… Ce sera déjà ça de gagné Audrey répondu il y a 8 mois Bonjour, mon fils a 14 mois, il me rejette dès la présence de Papa. Je n’existe plus quand son père et là, il se met à hurler si je m’approche de lui, ou si je dois m’occuper de lui car papa doit partir il hurle . C’est très très dur , quand son père n’est pas là cela se passe bien … Bossant de nuit c’est mon mari qui l’amène à la crèche, papa souhaite que mon fils vient vers moi avant de partir à la crèche mais échec total il hurle et moi j’en peux plus de cette situation . J’ai vu vos témoignages mais pas d’enfants de 1 an ce qui ne me rassure pas . Lauriane répondu il y a 6 mois Bonsoir à tous, Déjà, ça fait du bien de ne pas se sentir seule dans cette situation. Je suis la maman de deux garçons, l’ainé a 2 ans et demi, le cadet vient d’avoir un an. Mon fils aîné me rejette de plus en plus. Ça fait quelques semaines que ça va crescendo. Avant, on avait tous nos rituels du matin, du soir, de la sieste…. C’est moi qui lisais les histoires, on se parlait beaucoup. On avait notre complicité, et puis le papa avait la sienne aussi. C’est lui qui s’occupe des allers retours à la crèche, il avait toujours son môme de jeu avec son père en fin de journée et puis le week-end, il prenait le relais et le temps qu’il ne pouvait pas avoir en semaine. Ce n’est pas un enfant facile, il faut savoir agir et le comprendre…. Il peut très facilement se laisser déborder par la colère, la frustration, les émotions très fortes, les crises peuvent être très impressionnantes. C’est plutôt un enfant bourrin, attachant mais très bourrin…. Il n’est pas câlin, il a appris à en faire et a bien voulu en faire à la crèche, ça reste encore difficile. Voilà Un peu le contexte. Et bien depuis quelques semaines, il s’est mis à rejeter des moments avec moi. Je me suis pas inquiétée, après tout, il fait souvent des moments qui alternent phase papa/phase maman. Puis il a commencé à lever la main sur moi, à vouloir me frapper dans les moments de crise et de frustration. Il a essayé sur son père mais ça arrive nettement moins souvent. Et puis depuis peu, tous les moments de soin bain, habillage… sont rejetés, le peu de moments avec lui qu’il me restait n’existe plus. Je me sens nulle, rejetée. De plus j’en veux au père, je me dis qu’il ne fait rien pour arranger les choses et qu’il n’essaye pas de comprendre ma tristesse. Je ne sais plus quoi faire, j’ai l’impression que plus aucun lien n’existe entre mon fils et moi et je n’arrive presque plus à éprouver de l’amour pour lui, c’est comme si j’avais l’impression de ne plus être sa mère. Il semble totalement indifférent à moi. Je le vis très mal, je suis profondément triste , des fois j’ai l’impression que je suis au bord de la dépression et je me sens très seule face à tout ça. J’en viens à ne plus supporter le père. Je ne sais pas quoi faire, je sais que je dois me ressaisir et être forte pour surmonter car ce n’est qu’un passage mais comme je le disais, je ne suis pas soutenue par le père et j’ai trop de rancoeur envers lui, je me sens seule face à cette étape alors que j’attendais plus de soutien de lui. Merci de m’avoir lue, et bon courage à tous. ALAIN répondu il y a 6 mois Bonjour, Je suis papa d’une petite fille adorable de 3 ans que j’aime plus que tout .Nous rencontrons ma compagne et moi des situations similaires où ma fille demande beaucoup plus après son père. C’est papa qui me change, c’est papa qui me fait dormir ou bien encore je veux être à côté de papa pour manger … Cela crée très justement de la frustration chez sa maman et ma fille se comporte parfois durement avec elle. Témoin de certaines scènes, je tente de la reprendre pour amener ma fille à être plus proche de sa maman en lui expliquant certaines choses . Mais je fait l’objet de remarques pas toujours agréables de la part de ma compagne qui me reproche de ne pas la soutenir et me demande d’être plus dure envers la fille . Est ce la bonne méthode ?, je n’ai pourtant pas l’impression de passer sur tout mais je comprends la tristesse que ma compagne ressens. Je me dis également que je devrais m’effacer un peu de temps en temps … Bonne journée. Elsa répondu il y a 4 mois Bonjour à tous, J’ai versé des larmes en lisant vos témoignages. Je suis “heureuse” de voir que je ne suis pas seule dans cette situation. Mon fils à 2 ans et depuis ses 1 an même peut être un peu avant, il a une énorme préférence pour son père. Par exemple il refuse de prendre le bibi avec moi, il réclame son père, il va même sortir du canapé, pour lui laisser la place et monter sur lui pour boire le bibi. Si son père n’est pas là, il sera assis à côté de moi, mais jamais sur moi. Si je lui propose de venir avec moi, c’est un non catégorique. S’il se fait mal, il va se contorsionner dans mes bras lorsque je veux le réconforter, alors qu’avec son père il se calme presque immédiatement. Les câlins sont uniquement pour son père. Si je le contrarie frustration difficile pour lui il peut s’énerver à crier, voir même me taper. J’ai tout essayé pour lui faire comprendre qu’il ne faut pas le faire. Calmement, en m’énervent.. il se calme, puis il recommencera. C’est sans fin. A côté de ça, nous échangeons beaucoup de moments de rigolade, c’est ce qui m’aide à tenir par le jeu j’arrive à avoir des câlins, mais ça ne vient jamais de lui directement, pourtant je m’en m’occupe énormément, et il peut se passer quelques journées où c’est un enfant idéal, mais ça retombe vite. Je me remets beaucoup en question, je me dis que je suis une mauvaise mère, qu’il ne m’aime pas. C’est terrible comme sensation. Dans ces moments là et je sais qu’en tant que mère on est pas sensée le penser et surtout le dire!! Mais je peux en venir à regretter de l’avoir eu. Avoir un enfant pour vivre des rejets… Pourtant je l’aime plus que tout. Alors je m’accroche, je lui répète sans cesse que je l’aime peut être que je devrais arrêter ? Car de savoir que je l’aime malgré tout, il se permet plus de rejets et de colères ? Effectivement, j’ai remarqué que son père ne lui dit pas sans cesse qu’il l’aime. Peut être que je dois essayer ça ?? Mais c’est plus fort que moi, je n’arrive pas à m’empêcher de lui dire, lui faire des bisous dès que je l’ai dans mes bras. Comme un commentaire plus haut, j’ai également vécu une césarienne. Est-ce que le peau à peau avec son père les premières heures de sa vie ont pu jouer sur leur relation et la nôtre par ricochet ? Bref je n’ai aucune solution, et je me sens désemparée. Son père ne comprends pas pourquoi il est comme ça avec moi, et ne me soutient pas plus que ça. Je pense qu’il trouve que j’en fais trop lorsque je me met à pleurer. Mon entourage également, pense que je devrais prendre du recul et en gros arrêter de “gindre”, car mon fils est trop mignon… Oui en société Alors je le fais, je n’en parle plus. Je me sens d’autant plus seule et abandonnée dans ma tristesse et mon désarroi. Enfin voilà. Mon témoignage n’aide personne mais me permets de me libérer un petit peu. Merci à ceux qui me liront sans jugement. Cordialement Vio répondu il y a 4 mois Bonjour Elsa, Je suis touchée par votre message, je vis une situation similaire, dans les moindres détails… c’est mon 2ème enfant, j’ai une fille qui a 4,5 ans, et j’ai déjà vécu la même chose avec elle en moins accentué qu’avec mon fils, je m’étais dit qu’avec un garçon ce serait différent, mais c’est pire malheureusement. Les choses avec ma fille se sont calmées vers son entrée à l’école, et le 1er confinement pendant lequel elle s’est rapprochée de moi. Aujourd’hui elle dit d’elle-même qu’elle nous aime tous les deux, et ne fait plus de préférence, et ce que ça fait du bien 🙂 à l’époque j’étais allée consulter une psychologue à la PMI, j’étais très très mal je pleurais beaucoup et n’arrivais pas à prendre sur moi devant ma fille. Avec mon garçon, j’ai heureusement plus de recul étant déjà passé par là, mais ça reste très douloureux pour une maman d’être rejetée pas son enfant. En tous cas, je suis persuadée que vous avez raison de faire des câlins à votre fils et de lui dire que vous l’aimez sans cesse. Je ne pense pas que cela changerait la situation de vous priver de le faire, mais après tout, il faut tout essayer ! Raccrochez vous à l’idée que cela ne va pas durer même si ça parait long, et que votre fils vous aime, n’en doutez pas. Nour répondu il y a 4 mois Bonjour à tout le monde, Que dire d’autre que je me sens bien moins seule dans cette situation. Mon fils de 2 et demi n’a de yeux que pour son père. Cela fait 8 mois environ que cela dure et c’est extrêmement difficile pour moi. Dès qu’il s’agit de moi pour quoi que ce soit, ce sont des pleurs, des cris, même de la violence physique, il me tape beaucoup. J’ai beau essayer de tenir le coup et être ferme lorsqu’il dépasse les bornes mais c’est trop dur. J’ai maintes fois craqué et pleuré devant lui, tellement j’en souffre. Qu’est ce ma vie si mon fils ne m’aime pas ?! On en parle beaucoup avec mon conjoint et il me soutien comme il peut, ce n’est pas facile pour lui non plus. J’aimerais savoir, pour les personnes qui ont témoigner ici il y a longtemps, pouvez-vous dire si la situation s’est améliorée ? Et les autres de l’évolution de votre côté ? Merci 10000x pour vos mots et vos témoignages qui me donnent de la force de croire en l’entraide. Merci. Virginie répondu il y a 3 mois Bonjour je vis également la même chose avec mon fils et c’est très dur de l’accepter. Il a toujours été très proche de son père et en congés maternité combien de fois je n’arrivais pas à le calmer et quand son père arriver c’était lui le sauveur de pleurs. Au début je trouvais ça beau qu’ils réussissent avoir un lien fort mais aujourd’hui mon fils a 3 ans et c’est malheureusement toujours le cas. Je dis malheureusement car malgré mes efforts, les tentatives de rapprochement avec lui ul me rejette en bloc et je ne suis que la solution de secours quand papa est pas là. Je n’arrive plus a accepter cette situation, ça me fait très mal car d’autant plus c’est moi qui m’investit le plus dans son éducation, qui gère les rendez-vous, qui l’habille, qui le gâte, son père est là que pour les bons moments dû à son travail donc je trouve cela totalement injuste. Papa est très papa poule j’ai l’impression d’être la méchante. J’avais besoin de l’ecrire car ça ne devrait pas être l’ordre des choses et que c’est très injuste. Du coup je n’ai plus envie de faire des efforts je m’efface quand le papa est là. J’espère que plus anciens vos relations se sont arrangés. Valérie répondu il y a 2 mois Bonjour à tous, Je suis en larme devant vos messages car je vis la même situation. Cette sensation de rejet de ma fille qui vient d’avoir 3ans. Jai eu une césarienne d’urgence tt s’est bien passé mais j’ai refusé le peau à peau dès le début de peur d’être rejetée. Mon conjoint à eu droit ce merveilleux moment ! Pendant ma période d’allaitement de 10mois,on était très fusionnelle avec ma fille et elle a grandit ^^. Elle réclame et devient i2ndépendante et j’en suis ravie mais ma relation a changé immédiatement pour le développement père-fille il en faut pour papa aussi au début je ne disais rien car c’est un lien naturel. Mais les mois passe, et dès que je m’approche du père, elle me frappe, cri… Etc Encore quelques mois plus tard elle me repousse sans raison pour les câlins, les bisous, la douche l’habiller,le biberon, les jeux. C’est son père avant tt. Comme tous ici, j’ai mis ça de côté et je me suis dit que c’est une passade. Cela fait 2 ans qu’elle me rejette en présence de son père pour tt. Sauf quand il l’a dispute, je suis présente, quand elle a un bobo je suis présente. On ne joue pas bcp ensemble ce n’est pas mon truc on est plus sur des activités créatives. Quand son père est absent tt se passe très bien, même si j’ai la réflexion ”avec papa, je peux faire ça…” et autant les câlins à 2 ça va, mais dès que papa arrive, je n’existe plus pour elle et me rejette à nouveau. Ça me fait hyper mal se comportement mais c’est une enfants… Typiquement, ce matin, encore une fois, elle me repousse pour l’habiller et là j’ai craqué. Je me demande si je suis une bonne mère, si elle à vraiment besoin de moi ou si je devrais simplement partir et la laisser avec son père. Je me sens vraiment inutile. Son père est très présent et lui “cede” tt, je suis là méchante maman avec des règles à respecter… Comme ça a été dit précédemment par une maman, je suis tellement épuisée que j’en regrette d’être dans cette situation même si je l’aime de tt mon cœur. Ça m’a totalement bloqué sur l’envie d’en avoir un 2ème. Si c’est pour vivre ça une seconde fois, je ne survivrai pas ! Birou répondu il y a 2 mois Bonjour à toutes et tous, Et bien, voilà la première fois depuis que mon enfant me rejette que je vois que je ne suis pas la seule. De sa naissance à environ ses 18 mois, mon fils n’avait pas de préférence. Mais à ses 18 mois, tout a changé du tout au tout complétement rejetée, je ne peux plus le lever le matin, le préparer sans que ça se termine en crise de larmes, je ne peux plus l’installer à table, lui donner à manger, le laver, le coucher, sans avoir le droit à un “non, pas maman, je veux papa!”. Pourtant, papa n’en faisait pas plus que moi, ou mieux que moi… Comme les précédents témoignages, j’ai aussi et heureusement encore des moments de partage avec mon fils. D’autant plus que mon enfant est très sage et soucieux de respecter les consignes, donc mon entourage a du mal à comprendre ma problématique. D’autant plus que lorsqu’on est en extérieur, je redeviens le parent référence pour lui. Nous avons eu une phase de calme vers ses 3 ans et 2 mois, mais voilà que ça repart de plus belle. Je suis passée par toutes les phases “ha, cool, un peu de temps pour moi”, “euh, je sers à rien, j’aimerai bien participer aux tâches”, “je me sens triste d’être ignorée”, “je me sens déprimée d’être rejetée”, “je suis en colère de cette situation”. Je consulte une psychologue qui m’accompagne bien. Mais je n’en vois pas le bout. Je m’efforce d’avancer en me disant qu’avec le temps, cela s’arrangera. Mais en faisant le bilan cela dure depuis presque 2 ans. Je n’arrive plus à parler de cela en gardant mon calme avec le papa; et pire, je lui en veux de cette situation. Ma relation avec le papa ne tient à rien. J’ai le sentiment que lorsque je suis seule avec mon fils et ma fille aînée tout se passe bien, que je gère comme une wonderwoman. En parlant de ma grande, d’ailleurs, elle est plutôt de mon côté, se sent rassurée par moi et je suis sa parent référente. Le fait que mon fils me rejette me bloque vis-à-vis de ma fille, alors que cela devrait contrebalancer son rejet. Si des mamans et papas ont passé cette terrible phase pouvaient témoigner du dénouement de leur situation similaire, ça nous serait précieux, je pense. Déjà de lire autant de témoignage et de voir que mon enfant n’est pas le seul à avoir ce schéma me rassure qq part. J’espère que mon témoignage en aidera d’autres. Bon courage à tous les parents rejetés. Nikki R répondu il y a 1 mois Bonjour à tous, Je suis surprise de voir autant de maman en détresse comme moi, malheureusement quasiment pas de solution et cela le déprime. Cela fait peut-être 1 semaine ou 2 que mon fils de 5 ans me rejette, qu’il commence à me dire qu’il préfère papa, que même lorsqu’il se réveille la nuit, il veut papa. Et nous qui étions si proches, si fusionnels, je ne comprend pas ce qui s’est passé. Pourquoi ce refus si brutal. Que dois-je faire? Comment dois-je me comporter? Combien de temps cela va-t-il durer? 1 semaine, 1 mois, 1 an? Je ressens exactement vos sentiments et ça me fait très peur Alexia répondu il y a 1 mois Bonjour à toutes, Je vis exactement la même chose je ne vais pas le répéter pour la xieme fois ici. L’on fils fait celà depuis ses 11 mois. Je suis désemparée ma famille et mon homme ne comprennent pas ils disent que je suis une grosse gamine qui pleure pour rien et que ça leur casse les oreilles de l’entendre. Alors que faire a part fermer sa bouche, accepter la situation où plus tôt la subir? Je dois garder le sourire ou comment ça se passe ? Je le vis très mal j ai l’impression que ça n’en finira jamais Help pkease !!! Emmasar répondu il y a 1 mois Comme j’ai de la peine pour vous en lisant ces messages dont le sujet me concerne aussi. Mon fils de 1 an veut que la main de son père en promenade ou ses bras mais surtout pas les miens. Je savais, par echo, que les enfants pouvaient avoir une préférence mais j’espérais que ça soit la mienne lol. Je me suis sentie toute bête ce soir pendant la balade, j’avais le sentiment de tenir la chandelle. Et j’observais mon fils , avoir sa 1ere préférence … mais pas pour moi hélas. Quand je vous lis toutes et tous , je me sens moins seule et j’aimerais vous soutenir et vous dire que ça va passer et effectivement peut être que notre problème » c’est qu’on ne prend pas assez de temps pour nous ? Que nous sommes trop dévoués ? Et que n’importe quel être humain , peu importe l’âge, ne supporterait pas une personne totalement dévouée ? Je ne sais pas… j’essaie de comprendre . D’ailleurs si un psy ou une sage femme ou n’importe quel professionnel de la petite enfance pouvaient nous donner un petit conseil 🙂 gros bisous à toutes et tous Fanie répondu il y a 4 semaines Bonjour à vous, merci de vos partages, enfin je me sens moins seule! Tout a débuté avec ma fille aînée vers ses 20 mois, mais je me disais que cela était dû à ma grossesse, que c’était le complexe d’oepdipe, etc… Elle a 5 ans aujourd’hui, ça s’est légèrement atténué au niveau paroles et gestes de rejet, mais ouvertement, elle nomme préférer son père. Ensuite, à l’âge de 2 ans et demi, mon fils, se met à agir de même et pire encore, quant à ses paroles blessantes à mon endroit. Encore une fois, j’ai un 3ème bébé. Je redoute d’avoir brisé mon lien avec mes deux plus vieux. J’essaie différentes interventions et rien ne fonctionne. Pire, je suis intervenante et je ne parviens à rien avec ce que j’ai de plus précieux au monde, mes enfants. Je perds confiance et goût de m’investir au fil des jours. Je tente de m’accrocher à ma petite de 3 mois, je profite de chaque moment ne sachant quand viendra le moment du rejet… espérant sauver ce qui reste de lien maternel possible avec cette petite dernière. J’ai toujours voulu des enfants et je les ai eu à fin trentaine! Je comble tous leurs besoins je tente de les cajoler mais ils me repoussent, je leur dit que je les aime, j’essaie de jouer avec eux, je leur parle, je les écoute, je leur offre des choix mais… j’iimpose des limites, ce que papa fait peu. Il est du type à tout leur donner, de là leur préférence. Je redoute des enfants rois, je ne sais plus comment agir. Parfois je me dis que je devrais partir et les laisser car je suis une mauvaise mère malgré mes bonnes intentions. Merci de m’avoir lue. Laura répondu il y a 3 semaines Bonjour a toutes et tous je suis tombe sur ce post comme tt le monde ici je pense apres une enieme fois ou je me sens rejete par mon fils de bientot 3ans…. Il a tj ete proche de son papa mais je remarque quil alterne par des periodes bien avec moi et dun coup svt qd je travaille un peu plus et quil est plus avec son pere il devient horrible avec moi… a peine je me leve il me voit il crie non maman retourne au lit! Il hausse le ton avec moi, me provoque et me dit je veux mon pere!!! Ayant fait 5 ans de traitement Pma avec mon ex cet enfant qui est venu naturellement etait tres attendu par moi son papa en avait deja3! Bref tt ca pour vous dire que ca me rassure de ne pas etre la seule ds cette situation que je vie tres mal. Je m’investi bcp pour lui et fait bcp de choses avec lui mais des que papa est la depuis qq jour pour moi cest la misere et la il me dit que je ne dois pas misoler que je dois garder un lien avec lui mais qd tt ce ke vous avez cest du negatif et des cris ben vous ny arrivez plus, alors je suis peut etre une mauvaise maman je ne sais pas mais je souffre énormément ca cest certain Anna répondu il y a 3 semaines Bonjour, idem, ça fait du bien » de vous lire et se sentir moins seule. Pour ma part cela a commencé quand mon fils avait environ 6 mois. Il en a 3 et va bientôt rentrer à l’école. J’associe ça à la dépression post partum. Certaines sont dans le même cas? J’étais au plus mal + boulot atroce + rupture conventionnelle + confinement avec un bébé de 8 mois. J’étais l’ombre de moi même. Mon mari ne comprenant pas trop et voulant m’aider à sa manière s’est beaucoup isolé avec mon fils en me disant non mais laisse, je gère ». Et tout a vrillé. Mon fils me tapait, huuuurlait quand c’était à moi de me lever la nuit par exemple, me poussait et pleurait quand j’étais avec mon mari. J’ai l’impression d’être sa belle mère. Il s’exprime très bien et verbalise clairement non pas maman! » je t’aime pas maman ». J’en ai parlé à plusieurs professionnels psy, hypnotherapeuthe, psy de la PMI, famille, sophrologue… personne ne comprend et personne ne prend ça vraiment au sérieux oh! C’est une passade ». Mais elle est très longue cette passade… Ça me fait très peur pour un éventuel 2e Je l’aime et j’arrive à en parler un peu avec lui, quand il sent que je suis triste il me fait un câlin, mais il revient vers papa. C’est presque pire de me dire qu’il ne contrôle pas du tout ça et qu’il n’y a rien à faire C’est papa et c’est tout… Est ce que quelqu’un s’est sorti de cette situation?? Merci et courage à toutes! La maman solo est-elle plus compatible avec son alter ego masculin ou le célibataire qui n’a jamais connu les joies des nuits blanches sans sortir de chez soi ? POINTS COMMUNS ENTRE MAMAN SOLO ET PAPA SOLO En effet, le papa solo présente l’avantage d’avoir beaucoup de points communs avec les mères célibataires. Il connaît le bonheur et les difficultés à élever les enfants, les contraintes de temps et d’argent du quotidien. En plus d’être un amoureux, c’est l’ami idéal pour comprendre facilement notre fatigue, notre manque de temps, les inquiétudes sur les finances. Il aura de l’empathie. Il sait le poids d’être responsable de tout, la solitude à tout gérer seule, la peur d’être malade, de ne plus pouvoir nourrir, de plus pouvoir s’occuper de ses enfants. Il sait naturellement que la maman solo est aussi fragile que courageuse jonglant en permanence avec des tâches multiples. Il sait qu’être parent solo peut être stressant. Il acceptera plus facilement qu’elle annule un rendez-vous à la dernière minute pour cause de baby-sitter indisponible ou d’enfant malade Il pourra même la soutenir en lui donnant des conseils pratiques d’organisation, de vie, de bons plans liés à sa propre expérience de parent. Il a sa vie organisée de papa indépendant. Il ne sera donc pas toujours présent. Il ne sera pas collant, une relation fusionnelle avec lui, c’est mission impossible. Et si c’était le cas, tu devrais te demander pourquoi il passe si peu de temps avec ses rejetons. S’il est dans une relation conflictuelle avec son ex, s’il y a de la souffrance ou de la peur liée à cet échec amoureux avec la maman de ses enfants, si sa séparation est récente, il y a plus de chances qu’il recherche une relation légère, sans prise de tête…ce qui n’empêche pas la relation d’évoluer vers une relation durable. Quoiqu’il arrive, le papa solo comme la maman solo prendra son temps avant de se ré-engager dans une histoire sérieuse. Il a été blessé, il a besoin de temps pour mieux connaître sa nouvelle petite amie, la découvrir, retrouver confiance en sa capacité à rendre une femme heureuse. Son ex, la maman de ses enfants, sera plus ou moins présente dans sa vie donc femme jalouse s’abstenir ! S’il a 2 ou plus enfants, il ne veut peut-être plus en avoir. A toi de voir si tu partages ce choix. Si tu vis avec lui une relation à distance et qu’il est en garde alternée et très attaché à ses enfants, il ne déménagera pas dans ta ville ou ton pays. Donc tu as le choix entre déménager pour le suivre ou prendre le risque que la relation stagne ou se termine avec l’éloignement. C’est pareil dans l’autre sens. S’il t’aime et envisages une relation sérieuse avec toi mais que ses enfants ne t’acceptent pas ou ne s’entendent pas avec les tiens, l’avenir en couple est sérieusement compromis. Ce problème est moins impactant pour la relation si vos enfants respectifs sont grands et indépendants. En résumé, le papa solo est le propre miroir de la maman solo. Il a les inconvénients de ses avantages…comme la maman solo ! SORTIR AVEC UN CELIBATAIRE SANS ENFANTS Il est souvent plus jeune que le papa solo…et oui à 25 ans ou 30 ans un homme est moins souvent papa qu’à 40 ans. Alors préfères-tu les hommes jeunes ou plus mûrs ? Il a forcément un emploi du temps plus flexible qu’un papa. Si sa copine devient sa priorité, il s’organisera avec plus de facilités que le papa qui dépend aussi de son ex pour la garde de ses enfants pour la voir et s’adapter aux week-ends ou soirées libres de maman solo. Il peut ne pas comprendre ou accepter un manque de disponibilité par rapport à une célibataire sans enfants qui elle serait plus disponible, être plus en demande de rencontres, de temps passé ensemble, plus impatient pour se voir. Il y a de grandes chances qu’il veuille un enfant à court, moyen ou long terme et s’il cherche une relation sérieuse, la question de faire un enfant ensemble sera posée. Si vos plans de vie familiale ne s’accordent pas, la rupture est prévisible. ALORS PAPA SOLO OU CELIBATAIRE TOUT COURT ? Tu as peut-être un début de réponse en toi mets-le dans les commentaires en haut de l’article pour échanger dessus 🙂 mais au final tu sais bien qu’entre la théorie de ce qui devrait marcher, ce qui te convient et la pratique, il y a parfois un fossé. Et la vie nous réserve pleins de surprises auxquelles on ne s’attendait pas. J’ai un ami de 35 ans sans enfants qui m’a dit qu’il cherche à s’engager avec une jeune femme de son âge ou plus jeune sans enfants pour être à égalité »… 1 an après il est en couple et partage l’appartement de sa nouvelle copine, maman de 3 enfants… Après une période d’adaptation, il le vit très bien. Aux dernières nouvelles, ils attendent ensemble un enfant et sont très heureux. Au final ce que tu recherches, c’est celui qui correspond le mieux à tes valeurs, partage ta vision du monde, a les mêmes projets que toi, aime ton mode de vie ville, campagne, en France, à l’étranger, sur une péniche.., celui qui te rendra heureuse. Qu’importe le choix d’un papa célibataire ou pas, au fond, ce qui compte c’est qu’il soit célibataire et bien dans ses pompes. Et le plus sûr moyen de le reconnaître, c’est de mieux se connaître. Mieux se connaître pour savoir ce qu’on attend d’une relation, savoir ce qui ne nous convient plus, savoir si des valeurs et des projets futurs sont partagés. Dites-moi dans les commentaires si vous êtes en couple avec un papa célibataire ou un célibataire sans enfants. Et si vous n’êtes pas en couple, avez-vous une préférence ? J'avais 21 ans quand je suis devenue "belle-mère". Je n'aime pas trop ce terme hein, ça me rappelle la marâtre laide et méchante de Cendrillon mais je n'ai pas encore trouvé mieux. Depuis des années je savais qu'un jour je deviendrais mère, j'en avais envie, alors je me disais que belle-mère, c'était déjà un bon me suis donc lancée avec bonheur dans l'aventure. Au début. Franchement, je n'ai jamais eu peur. J'ai refusé d'écouter les mauvaises langues qui disaient que je n'aurais pas du, qu'elle était petite, que je m'attacherai, que le jour où je me séparerai de son père ça serait dur de laisser la petite... Ce que j'ai vu c'est ce petit bout de femme de même pas 18 mois qui avait plein d'amour à recevoir, et comme j'en avais plein à donner... Pendant des années, on m'a beaucoup entendu dire "je la considère comme ma fille". Parce que je le croyais, sincèrement. Parce que tant qu'on n'a pas vécu une maternité, on ne sait pas. Depuis la naissance de ma fille, je n'ai plus jamais prononcé cette phrase. Parce qu'elle n'est plus exacte. Je ne suis plus d'accord avec moi-même. Avant, quand je la considérais comme ma fille, c'était un peu comme si je me "l'appropriais". Comme une façon de satisfaire mon désir de maternité. Un week end sur deux et la moitié des vacances. Une relation plutôt chouette. Un temps pour l'amour, les câlins et un temps pour vivre ma vie de femme nullipare. Les avantages sans les inconvénients, en somme. Au début. Etre belle-mère, ce n'est pas si simple. Une belle-fille va toujours avec sa mère, et forcément, vu que la maman en question est l'ex de ton amoureux, il y a de très fortes chances pour que ça coince entre vous. Et d'infimes chances que vous soyiez copines comme cochonnes à faire les magasins ensemble un mercredi sur deux. Oui parce qu'en fait, deux options s'offrent généralement à toi - Soit la nana a été larguée par ton amoureux, et comme c'est le père de son enfant et qu'elle l'aime, elle te déteste. Non seulement tu partages le lit la vie de son ex, en plus tu lui "voles" son enfant tous les 15 jours. Elle est joie. Dorénavant, elle n'aura qu'un but. Te détruire pourrir la vie. - Soit la nana a largué ton amoureux parce qu'elle pouvait plus le supporter et elle t'en veut de toute façon. Elle t'en veut de lui "voler" son enfant et d'arriver à supporter ce con mec qu'elle ne peut plus voir en peinture. Dans tous les cas, il faut savoir que la maman a du mal à voir son enfant sourire avec toi, à le voir te faire des câlins et à voir que son enfant t'aime. Moi qui suis une mère, maintenant, j'ai envie de dire que c'est normal. Sincèrement, j'appréhende le jour où le père de Petite Elfe aura sa propre maison et une autre femme... Mais ceci est une autre histoire. Je disais donc qu'au début, c'était chouette et puis.. et puis la réalité revient toujours remettre un peu de plomb dans la cervelle. Le temps passe et on se rend compte que l'amour, ça ne suffit pas toujours. Que la vie est déjà bien compliquée et qu'on a beau ne pas vouloir que l'enfant trinque, il se retrouve au centre de conflits stupides d'adultes qui passent plus de temps à chercher comment emmerder l'autre qu'à faire le bonheur de leur enfant. Je ne juge pas, je serais bien mla placée pour le faire...mais je constate. Etre belle-mère, c'est expérimenter à quel point il est difficile de trouver sa place, sans déborder sur l'espace parental. D'être, en quelque sorte, la troisième roue du carrosse. Je sais que je n'ai pas été capable de ça. Que j'ai pris une trop grande place, évincé le papa en quelque sorte pour assouvir cette soif de materner. J'ai aimé cette enfant, je l'ai prise sous mon aile de belle-mère poule. J'ai accompagné ses pas, tenu sa main fort dans la mienne. J'ai consolé ses chagrins, je me suis levée les nuits. Je l'ai vue apprendre à parler, je l'ai emmenée à la piscine et au zoo. J'ai passé mes vacances avec elle et je lui ai acheté des kilos de jolis vêtements. Aujourd'hui, je l'aime encore, bien sûr. Ce n'est pas la question. Mais c'est devenu compliqué au moment où j'écris ça je vois très bien la scène du film Troie, avec Brad Pitt dans le rôle de celui qui dit "c'est devenu compliqué". Comment ça vous vous en fichez? Pendant que ma Petite Elfe remplissait peu à peu mon ventre, j'entendais très souvent ma belle-fille me dire "maman elle dit que quand tu auras ton bébé tu ne t'occuperas plus de moi, c'est vrai?". A chaque fois que je lui répondais "mais non, ce n'est pas vrai. Je t'aime, ma puce", je sentais mon coeur se fissurer un peu plus. J'avais déjà un poids énorme sur les épaules, je voulais seulement qu'on me fiche la paix, qu'on me laisse profiter de ma grossesse. Je voulais le silence, la paix. La paix de mon âme, s'entend. Je ne l'ai jamais trouvée. Alors j'ai lâché prise. Pris du recul et une énorme distance. J'ai materné mon enfant tout mon soûl, j'ai découvert ce qu'était qu'être mère. J'ai redonné sa place au père de ma belle-fille. Brutalement, sans doute. Je pense que ça a été douloureux pour tout le monde, sur le moment. Je pense aussi que ça valait mieux comme ça. Parce que dans quelques mois semaines?, quand nous n'habiterons plus ensemble, j'espère que ça sera moins douloureux pour ma petite belle-fille. J'ai pris tellement de distance vis à vis d'elle que je ne suis pas sûre de lui manquer. Elle a retrouvé son papa, c'était vital pour elle. Et moi... J'ai eu tout le temps de réfléchir. De comprendre pourquoi ma belle-fille et moi nous nous sommes éloignées. Je ne peux pas tout dire ici mais certains événements extérieurs peuvent détruire une relation plus sûrement que le temps qui passe. Je n'ai pas détesté être une belle-mère, au contraire. Le papa de Petite Elfe m'a dit un jour "si j'avais eu une belle-mère, j'aurais voulu qu'elle soit comme toi". Je l'espère, vraiment. Peut-être même qu'un jour, j'aurais la chance d'être à nouveau une "belle-mère" et de recommencer l'aventure.... qui sait?  Chasse aux oeufs...oeuf facile à trouver^^ 

j ai pas connu papa mais maman elle a gerer