Aprèslecture des textes de loi, je pense qu'il faudrait prévoir une réunion de l'équipe éducative afin de définir précisément les missions d'accompagnement de l'AVS-I. Proposer un protocole d'accompagnement comme le prévoit l'annexe 2 de la circulaire n° 2003-093 du 11-6-2003 pourrait probablement faire avancer les choses. Cest forcément une demande de reconnaissance de handicap qui doit être faite et en compensation d’une situation de handicap, la MDA (MDPH) peut accorder une AESH (AVS) sur le temps scolaire. De plus, l’enseignante de votre fille ne Jesors de l'équipe éducative de mon fils. Nous faisons une demande d'AVS. L'enseignante référente a spécifié qu'en cas de refus d'AVS, il était possible de faire une recours et si la MDPH refuse toujours d'octroyer une AVS, il était possible d'aller au tribunal administratif. Introductionloi: 6 juin 2016 cause: fin de vie difficile - soins palliatifs Conditions Les médecins peuvent-ils refuser une demande d'aide médical à mourir? aide à fournir: pharmacien, membres de familles conséquences: Thèse Avis professionnel Collège des médecins du Québec Lalettre de saisine peut exposer les motifs de la contestation et mentionner les éléments insuffisamment ou incorrectement pris en compte. Si le refus de la MDPH est implicite (en cas d’absence de réponse de la MDPH, cela signifie que la demande a été rejetée) il faut alors joindre une copie de l'accusé réception de la demande lorsque vous aviez déposé votre xZag. Je vais faire une ENORME confession… Quand j’étais enfants vers l’âge de 9 ou 10 ans, j’avais très peur des enfants handicapés, en particulier les enfants trisomiques. Pourquoi? On m’avait expliqué qu’il ne fallait se moquer… Moi la fille au bec-de-lièvre, comme si j’allais me moquer du physique de qui que ce soit. Moi et ma souffrance on n’allait pas en créer. On ne m’a rien expliqué d’autre. Non, ce qui me faisait peur c’est que j’étais persuadée qu’ils avaient une sorte de détecteur d’âme pure, que l’on ne pouvait pas leur mentir, qu’ils savaient si on était sincère, qu’ils savaient bien plus de choses que nous n’en saurions jamais et par-dessus tout j’avais peur qu’ils ne m’aiment pas… Ce qui aurait voulu dire que je n’étais pas quelqu’un de bien. C’est étrange, n’est-ce pas? Vous me trouver stupide? Vous trouvez ça dingue que j’ose raconter un truc pareil? Et si on acceptait TOUS de lever le voile de notre ignorance? Si on acceptait de dire ce qui nous inquiète? Pour parler à cœur, et avancer bon sang!!! Dans ce domaine qui deviens une HONTE du comportement humain!!! On parle juste de différences, et donc de valeur ajoutés. Ils sont aussi les adultes de demain ! J’ai recueilli plusieurs témoignages, celui d’une AVS et de son vécue, celui d’une maman et de son combat depuis un an, celui d’une maman qui a choisi de devenir AVS et de l’accueil qui lui ai fait et celui d’une enseignante. Quatres chemins qui se croisent, un carrefour des besoins,et des attentes qui sont souvent les mêmes… Mais aucune communication… De l’attente, beaucoup d’attente même. Prenons le cas d’une maman, après avoir fait les démarches à la MDPH, a obtenue 15h d’accompagnement pour son enfant par un AVSi. Son enfant n’est scolarisé que le matin pour ménager sa fatigue. Ses besoins Installation Déplacement Habillage Apprentissages Dans leur cas, l’institutrice de l’enfant avait voulu permette que le dialogue s’installe au plus vite entre les parents et l’Auxiliaire de vie scolaire. L’institutrice qu’il avait eue l’année précédente sans AVS souhaitait fonctionner de manière très ouverte en nous laissant discuter et voire le maximum de choses directement avec l’AVS. J’ai pu la rencontrer le jour de la prérentrée sachant que ce n’est pas toujours possible, il faut qu’elle soit avisée de son poste avant la rentrée, j’ai été appelée le jour même et me suis rendue à l’école pour lui expliquer la maladie de mon fils en présence de l’instit je suis en congé parental pour mon dernier enfant, après j’aurais travaillé ça aurait été la même soit je posais deux jours de prérentrée au cas où soit je ne rencontrais pas l’AVS avant la rentrée. J’ai pu aller rechercher mon fils après sa sieste pour lui présenter l’AVS le même jour. Il faut manifestement être très disponible tout de même, il n’y a rien de mis en place pour ce moment particulier?Une sorte d’adaptation? Après au fil du temps les rapports avec l’AVS se sont dégradés, j’ai l’impression que comme on a relevé certaines pratiques qui n’étaient pas OK par rapport à ce qui avait été décidé en réunion elle avait décidé que mon fils devait mettre son manteau seul pour faire comme les autres or il avait été décidé qu’il fallait l’économiser au maximum sur ce type de tâches pour qu’il ait le plus de disponibilité pour suivre en classe elle s’est un peu braquée. L’AVS ne s’approchait plus, elle restait loin dans la classe lorsqu’on amenait notre enfant. Qui est ce qui gère ces moments délicats? Un accompagnement serait-il possible? Pouvons attendre que l’institutrice endosse ce rôle, car en ouvrant la communication entre les parents et l’AVS et ne plus participer aux discutions on risque un trop gros manque d’équilibre. Dans ce cas la maman a su être compréhensive, et a réfléchis au pourquoi en faisant un triste constat Le travail d’AVS est clairement très mal payé, les personnes en contrat aidé ont du mal à s’impliquer dans la fonction puisque le contrat n’est censé qu’être transitoire, l’éducation nationale ne remplissait pas les obligations de formation qu’elle avait à l’égard de ces personnes. L’ensemble ne crée pas des conditions favorables. Le choix des personnes recrutées est pourtant crucial pour un telle demande! C’est délicat et on laisse les gens se débrouillés en se gaussant d’avoir mis des choses en place. Mais il n’a pas de choix… Le souci de ce système celui du handicap et de la scolarisation en milieu ordinaire c’est que les manquements liés à la formation donc à la compétence des AVS et ceux liés à la gestion des AVS manque de temps d’AVS par rapport aux besoins de l’enfant conduisent à ce que les PPS dont la mise en œuvre est seule à même de permettre la réussite des enfants en situation de handicap ne sont pas toujours correctement appliqués. Passons au constat et au vécu d’une AVS, manifestement il y a différente façon d’atteindre ce poste. Donc le CUI Le contrat unique d’insertion CUI associe formation et aide financière pour faciliter l’embauche de personnes dont les candidatures pour occuper un emploi sont habituellement rejetées. Le CUI est réservé aux personnes reconnues par les institutions comme spécialement désavantagées dans la compétition pour l’accès à l’emploi. Ou le passage classique » faire acte de candidature auprès de votre académie. Dans le premier cas, je dois avouer que cela ne laisse pas rêveur, mais que pouvons-nous attendre de personnes dans une telle situation qui se retrouvent avec un emploie reconductible au grand maximum trois ans? Sans formation AUCUNE pour gérer des enfants habituellement ne suivit par des spécialistes? Je commence d’ailleurs a me poser des questions sur ce terme. SPECIALISTE, mouais… Mais ne jugeons pas trop vite… Voici l’expérience d’une AVS J’ai un bac +4 mais j’étais au chômage depuis longtemps, et j’ai trouvé cette annonce sur pôle emploi, réservée aux chômeurs de longue durée. J’ai passé un entretien assez précaire, et ai été acceptée! J’ai été affectée à mon premier poste sans rien, aucune info, aucune formation. J’ai débarqué dans l’école ne sachant même pas de quel enfant j’allais m’occuper ni quelle classe, ni quel handicap. Niveau infos, zéro!!! Mmmm j’adore lire ça! C’est vraiment chouette, n’est-ce pas? Surtout que cette personne a été recrutée et à commencer a travailler en février, c’est à dire qu’il n’y avait même pas l’excuse du mois d’aout… Oui j’adore le fameux » ah oui, mais bon… C’est le mois d’aout, hein! » avec le » ma p’tite Dame » Grrr Et puis la proposition de » formation » la voici j’ai reçu en juin une proposition de formation pour la rentrée d’après. La formation en question 2 ou 3 jours de conférences en amphi sur le fonctionnement de la MDPH, comment se prennent les décisions au niveau de la reconnaissance des handicaps etc… Bref le fonctionnement interne et administratif. Mais ce n’étaient que des conférences, pas une formation à proprement parler! Aucune formation sur les handicaps que l’on peut rencontrer, aucune information sur la façon de réagir face à ces handicaps etc, rien de concret. Puis l’année a recommencé, avec d’autres enfants. D’autres handicaps. Il faut se réadapter, refaire connaissance, recommencer parfois avec certains enfants. Après, j’ai pu constater dans plusieurs témoignages d’AVS un souci de reconnaissances de la part des instituteurs, peu de communication, de discussion. Les professeurs des écoles et les directeurs sont déjà très occupés dans leurs fonctions, certes mais souvent c’est un problème de hiérarchie, comme pour les ATSEM. Personnellement j’ai remarqué plus d’une fois qu’elles avaient beau faire un gros travail, il y avait peu de reconnaissance. Mais j’ai aussi vu dans certaines écoles de la considération pour ce métiers, mais il y a toujours un mais… Voici aussi le ressenti d’une personne qui va être AVS à la rentrée… Ce que je voulais juste dire, c’est que je n’ai pas encore commencé mais que j’en vois déjà de toutes les couleurs !! Entre l’IA qui m’a embauché, le lycée où je vais travailler et le collège dont je dépends, les gens se renvoie la balle pour me donner des infos. A 5 jours de la rentrée, je n’ai pas signé de contrat, je n’ai pas de contact, je n’ai aucune info sur ce que je vais faire, sur mon planning, sur ce que je fais si l’élève est malade, ce genre de détails »…La sensation d’être en trop » pour toute l’administration scolaire Et puis l’avis d’une institutrice, qui me disait y’a AVS et AVS… Car parfois ça deviens une difficulté à gérer en plus, mais qu’effectivement elles n’introduisent pas l’AVS aux pauses cafés, ou à leur discussions. Car il y a comme un besoin de » chacun sa place » et qu’ensuite si il y a des choses à dire c’est plus compliqué si la hiérarchie n’est pas marqué. Ensuite il y a aussi un manque de formation pour les professeurs des écoles. J’aurais aimé mieux éclaircir les choses, mais je ne trouve que des questions, des craintes et peu de confiance. Ce que je comprends totalement, je ne suis pas AVS, je n’ai pas beaucoup de connaissance sur le handicap en général, mais j’en assez de mon ignorance, et je ne veux pas que mes enfants fassent partis de ces ignares moqueurs… Je suis toujours prête à apporter des modifications, si vous avez des informations supplémentaires, je réécrirais sur le sujet suivant l’évolution des choses et si mes sources continuent de m’en dire plus! Pour rappel, ce sont que quelques témoignages, et que d’autres seraient les bienvenus!!! Vous pouvez aussi venir en parler avec moi sur mon blog MereCruelle et vous apercevoir que je ne le suis pas ; Mère cruelle En écoutant tous les marronniers de rentrée sur toutes les chaînes et en étant tombée hier soir sur un débat enregistré visiblement en juin sur la chaîne parlementaire, on voit que tous ceux qui veulent changer » et rénover » l’école pour redonner de l’attractivité au métier d’enseignant ne connaissent rien à son essence même qui est la transmission des connaissances et ils se f.. d’ailleurs des connaissances en général, probablement parce qu’ils pensent que leur propre culture suffisante est personnellement acquise sans aide extérieure ils raisonnent en terme d’industrie heures, rendement, coûts - pensant à augmenter les horaires des professeurs là où il faudrait augmenter les horaires matières, réduire les vacances pour former les professeurs à internet, là où il faudrait leur laisser le temps de mettre à jour leurs connaissances dans ma matière de lire et réfléchir et d’ailleurs de se ressourcer nerveusement car oui il le faut pour tenir bon et enfin, arme massive, les primes au mérite comme si l’éducation des enfants demandait des exploits spéciaux aux enseignants et non la tranquillité quotidienne du travail bien fait. Bref ceux qui pensent politiquement l’école sont à la fois trop paresseux intellectuellement pour s’en informer vraiment ou ne le peuvent pas car ils sont par trop formatés intellectuellement pour imaginer d’autres recettes que celles imaginées dans le monde industriel pour produire plus de saucissons au meilleur coût . C’est exactement pareil qu’à l’ n’ose reprendre la réflexion à partir de là où on s’est fourvoyés avec une belle utopie le collège unique, la massification et l’écrasement de toute la structure y compris universitaires par une masse d’élèves mal formés à tout et qui n’ont aucune chance de réussite - et finalement la seule égalité où on a progressé est l’égalité dans l’échec. Même la question des rémunérations en dépend puisqu’on ne peut payer convenablement une profession qui s’est elle aussi massifiée et que l’on ne cesse de dé professionnaliser par des recrutements sans qualifications suffisantes…Bon courage à ceux qui oseraient y réfléchir….Dernière édition par Iphigénie le Mer 24 Aoû 2022 - 704, édité 2 foisManu7Érudit valle a écrit Manu7 a écritAujourd'hui, c'est la loterie, ceux qui sont contratuels depuis 2 ou 3 ans tiennent relativement bien la route, car sinon ils sont écartés mais comme la crise devient énorme on commence aussi à garder dans le circuit des contractuels malgré les avis défavorables des CDE !!! On marche sur la tête, on voit de tout c'est vraiment inquiétant, j'ai déjà vu des élèves me demander de venir plus souvent remplacer un contractuel les larmes aux yeux... Et au passage, je me dis que si tous les contractuels pouvaient passer 5 à 10 minutes devant un IPR pour être recrutés cela ne ferait pas de mal car on oublie que beaucoup ne passent même pas par ce dispositif et on se retrouve parfois avec des cas très limite totalement incompétents voire presque dangereux. Je ne pense pas qu'il s'agisse d'estimer les possibilités qu'un contractuel soit compétent et d'en conclure qu'elles sont trop basses pour ce qui serait idéal c'est la loterie. Le problème est qu'un contractuel n'a pas été recruté selon la procédure statutaire, point les "épreuves" de sélection ont été autres et son recrutement n'a pas permis a tous les candidats de concourir librement, c'est peut imaginer une situation où tous les contractuels seraient largement plus diplômés que les titulaires, par exemple c'est peut-être le cas ça ne change rien au fait que leur présence est, selon l'architecture institutionnelle, une exception, et que le contrat ne peut pas être vu comme une alternative au statut. Je suis totalement d'accord avec toi, mais j'abordais une autre facette du problème, dans la réalité tout comme à France Télécom, quand on casse le statut mis en place on se retrouve toujours au final avec une énorme proportion d'incapables. Et je pense sincérement que les contractuels actuels sont nettement moins bons que ceux des années avait eu le même débat dans le premier dégré avec la mise en place des FAPE, je me souviens que sur France Inter un célèbre pédopsychiatre disait que les PE étaient inquiets car ils avaient peur que des personnes moins qualifiée soient meilleurs qu'eux... Les PE avaient simplement peur que des personnes incompétentes soient responsables des enfants, et la réalité leur a donné raison, en dehors de quelques intervenants qui proposaient des activités enrichissantes et qui souvent ne restaient pas longtemps, le reste était d'un niveau ridicule et dans ma commune les adjoints au maire s'arrachaient les cheveux pour faire comprendre qu'il était essentiel de ne pas partir avant l'arrivée des parents à la fin de la séance. zigmag17Vénérable Cleroli a écrit Sliv a écritBonjour, ce matin sur le figaro live vers 10h, notre cher ministre se faisait filmer en direct du rectorat de l'académie de Créteil pour la réunion de la cellule qui gère les contractuels et TZR. Je n'ai vu que les vingt dernières minutes. En tant que TZR, un passage m'a interpellé un des responsables expliquait qu'ils avaient mis en place une politique de fidélisation des contractuels. Autrement dit, sur certaines zones les contractuels passent en priorité sur les AFA devant les TZR... Ce n'est donc pas une légende urbaine... Je ne crois pas que l'extrait vidéo ait été posté, le voici unamusedAuverlot, recteur de l'académie de Créteil, explique au ministre Ndiaye qu'il s'assoit dans certains cas sur les statuts des profs et de la Fonction Publique Notre politique, ça a été de fidéliser les contractuels et de les faire passer avant les titulaires »SNESFSU green_apple Du pognon pour les profs! moneybag Ithyphallique August 23, 2022 Manifestement le Recteur a bien accompli la mission qui lui a été confiée et "cela" plaît. vous découvrez ces pratiques seulement maintenant? Mon inspecteur m’avait parlé de ce problème dans mon académie il y a maintenant sept ou huit ans. en me parlant de postes bloqués au profit de contractuels dans certains lycéesbeaverforeverHabitué du forumSi vous allez faire un tour sur Canope, vous trouverez plein de formations pour les contractuels, soit généralistes qu'est-ce qu'un CPE ? Qu'est-ce qu'un chef d'établissement? ou par Iphigénie a écritMais vous découvrez ces pratiques seulement maintenant? Mon inspecteur m’avait parlé de ce problème dans mon académie il y a maintenant sept ou huit ans. en me parlant de postes bloqués au profit de contractuels dans certains lycées A cette échelle oui, je le découvre. Je pensais que c'était rare, un pis-aller; pas que c'était devenu une méthode. On en parlait et j'ai découvert cette situation ici, en lisant des témoignages .CaroNiveau 9 les contractuels actuels sont nettement moins bons que ceux des années 2000. Je suis donc une bonne contractuelle puisque j'ai commencé il y a près de 22 ans par choix !!! valleFidèle du forum Caro a écrit les contractuels actuels sont nettement moins bons que ceux des années 2000. Je suis donc une bonne contractuelle puisque j'ai commencé il y a près de 22 ans par choix !!! Je pense que Manu7 parle en général il est évident qu'il y avait aussi des contractuels très, très, peu compétents il y a 20 ans ! Il est important de ne pas confondre des affirmations générales et particulières, je ne pense pas que Manu7 parle de telle ou telle personne, si on ramène tout au jugement sur l'individu, tout raisonnement devient impossible.Ton "par choix" m'interroge était-il habituel il y a 20 ans de contraindre des gens à signer un contrat avec l'ÉN ???zigmag17Vénérable valle a écrit Caro a écrit les contractuels actuels sont nettement moins bons que ceux des années 2000. Je suis donc une bonne contractuelle puisque j'ai commencé il y a près de 22 ans par choix !!! Je pense que Manu7 parle en général il est évident qu'il y avait aussi des contractuels très, très, peu compétents il y a 20 ans ! Il est important de ne pas confondre générales et particulières, je ne pense pas que Manu7 parle de telle ou telle personne.Ton "par choix" m'interroge était-il habituel il y a 20 ans de contraindre des gens à signer un contrat avec l'ÉN ??? Par choix il me semble que c'est pour ne pas subir le système des mutations non?JacqMonarqueLa pénurie a été organisée depuis plus de 20 ans, la contractualisation était même présentée par Macron durant son premier quinquennat comme l'avenir de la fonction publique, dans la ligne droite de l'époque de Sarko. On ajoute la perte d'attractivité du métier, la difficulté à muter et la difficulté à recruter causes et conséquences de la contractualisation cela ne date pas... mais cela commence à se voir sage Manu7 a écrit Et je pense sincérement que les contractuels actuels sont nettement moins bons que ceux des années 2000. C'est basé sur quoi ? Ton observation personnelle ?C'est uniquement les contractuels ou les nouveaux titulaires sont aussi en dessous de ceux des années 2000 ?zigmag17Vénérable Jacq a écritLa pénurie a été organisée depuis plus de 20 ans, la contractualisation était même présentée par Macron durant son premier quinquennat comme l'avenir de la fonction publique, dans la ligne droite de l'époque de Sarko. On ajoute la perte d'attractivité du métier, la difficulté à muter et la difficulté à recruter causes et conséquences de la contractualisation cela ne date pas... mais cela commence à se voir lourdement. C'est ça. Le côté public, assumé, auto-satisfait, du ministre, des recteurs et consorts, colore la contractualisation de soufre et de désespoir je m'entraine pour le prochain Printemps des Poètes !En attendant, tout le monde va bien du forum valle a écrit Caro a écrit les contractuels actuels sont nettement moins bons que ceux des années 2000. Je suis donc une bonne contractuelle puisque j'ai commencé il y a près de 22 ans par choix !!! Je pense que Manu7 parle en général il est évident qu'il y avait aussi des contractuels très, très, peu compétents il y a 20 ans ! Il est important de ne pas confondre des affirmations générales et particulières, je ne pense pas que Manu7 parle de telle ou telle personne, si on ramène tout au jugement sur l'individu, tout raisonnement devient impossible.Ton "par choix" m'interroge était-il habituel il y a 20 ans de contraindre des gens à signer un contrat avec l'ÉN ??? Peut-être qu'elle veut juste dire qu'elle n'a pas raté le concours 20 fois. Et qu'elle est donc restée contractuelle par du forum Lowpow29 a écrit valle a écrit Caro a écrit les contractuels actuels sont nettement moins bons que ceux des années 2000. Je suis donc une bonne contractuelle puisque j'ai commencé il y a près de 22 ans par choix !!! Je pense que Manu7 parle en général il est évident qu'il y avait aussi des contractuels très, très, peu compétents il y a 20 ans ! Il est important de ne pas confondre des affirmations générales et particulières, je ne pense pas que Manu7 parle de telle ou telle personne, si on ramène tout au jugement sur l'individu, tout raisonnement devient impossible.Ton "par choix" m'interroge était-il habituel il y a 20 ans de contraindre des gens à signer un contrat avec l'ÉN ??? Peut-être qu'elle veut juste dire qu'elle n'a pas raté le concours 20 fois. Et qu'elle est donc restée contractuelle par choix. Mais ça en revanche semble comporter un jugement général sur les collègues il y aurait des contractuels "par obligation" qui ont raté le concours, qui peuvent bouger mais n'en ont pas envie, etc. et des contractuels "par choix" qui n'ont pas tenté le concours ou qui l'ont eu, qui sont contraints de rester dans une commune..., avec le sous-entendu que les contractuels "par choix" sont les "bons", je serait comme dire qu'il y a des titulaires "par choix" qui ont eu le poste souhaité, ou qui avaient déjà un travail et on choisi de se reconvertir... et "par contrainte" mutés par extension ou qui ont eu le concours parce que c'était la suite "logique" à leurs études.CaroNiveau 9Aucun jugement de ma part ni sur les "bons" ni sur les "mauvais" contractuels. Je n'ai jamais tenté le concours. J'ai très vite compris que si je devenais titulaire, il me serait impossible de suivre mon époux à l'autre bout du monde. Avec le temps, je suis certaine d'avoir fait le bon du forum Caro a écritAucun jugement de ma part ni sur les "bons" ni sur les "mauvais" contractuels. Je n'ai jamais tenté le concours. J'ai très vite compris que si je devenais titulaire, il me serait impossible de suivre mon époux à l'autre bout du monde. Avec le temps, je suis certaine d'avoir fait le bon choix. Mais quels sont les contractuels qui ne le sont pas "par choix" ?RuthvenGuide spirituelSophie Vénétitay fait le job dans sa réaction à la vidéo de D. Auverlot et opportunisme en instrumentalisant la crise de recrutement pour aller toujours plus loin dans la remise en cause du statut et en piétinant les droits des titulaires. Inadmissible !Le statut de fonctionnaire donne des obligations mais aussi des droits. Il s’inscrit dans la conception d’un fonctionnaire citoyen. Et c’est peut-être ça qui dérange, vu l’entreprise de casse du statut et de promotion de la contractualisation menée par depuis les luttes à venir, la défense du statut sera centrale. C’est défendre nos droits, mais aussi une certaine conception du service public ambitieuse, démocratique et au service de l’intérêt général."CaroNiveau 9J'ai croisé certains contractuels qui ne parviennent pas avoir le concours et donc qui ne le sont donc pas par choix. Lisak40Fidèle du forumCaro C'est étonnant je ne met absolument pas en doute ta parole ceci dit car moi ce que j'ai surtout croisé, ce sont des contractuels qui n'osent pas passer le concours, pensant probalement à tort ou à raison qu'ils n'ont pas les capacités pour pour le réussir, mais cela ils l'avouent rarement. Il y a parfois aussi en tous les cas dans mon établiseement des problèmes de nationalité contractuels non citoyens européens. La plupart des contractuels croisés passent le concours assez rapidement quand même, et souvent le réussissent, notamment ceux qui tenaient la route en tant que prof contractuel. Après il y a des exceptions contractuel longue durée, tout à fait capable d'avoir le concours, sans problème de nationalité, sans famille / conjoint qui imposerait de rester en RP -de toutes les façons, vouloir rester en RP n'est généralement pas un problème-, mais je n'ai jamais compris leurs motivations je n'ai pas non plus rencontré 500 contractuels...Dernière édition par Lisak40 le Mer 24 Aoû 2022 - 846, édité 1 foisvalleFidèle du forum Lisak40 a écritCaro C'est étonnant je ne met absolument pas en doute ta parole ceci dit car moi ce que j'ai surtout croisé, ce sont des contractuels qui n'osent pas passer le concours, pensant probalement à tort ou à raison qu'ils n'ont pas les capacités pour pour le réussir, mais cela ils l'avouent rarement. Il y a parfois aussi en tous les cas dans mon établiseement des problèmes de nationalités contractuels non citoyens européens. La plupart des contractuels croisés passent le concours assez rapidement quand même, et souvent le réussissent, notamment ceux qui tenaient la route en tant que prof contractuel. Après il y a des exceptions contractuel longue durée, tout à fait capable d'avoir le concours, sans problème de nationalité, sans famille conjoint qui imposerait de rester en RP -de toutes les façons, vouloir rester en RP n'est généralement pas un problème-, mais je n'ai jamais compris leurs motivations je n'ai pas non plus rencontré 500 contractuels... Je pense surtout que tout travailleur est fini là où il est pas une suite de choix contraints. Quelqu'un en reconversion qui aurait échoué au concours pourrait se dire "j'ai quand même décidé de postuler en tant que contractuel par choix, alors que Caro est juste devenue enseignante afin de pouvoir suivre son conjoint". C'est comme classer les titulaires selon le nombre de fois qu'ils ont tenté le concours, ou dire qu'on est certifié ou agrégé "par choix" puisqu'on aurait pu tenter le concours de Perdir alors qu'on en connaît qui ne le sont pas "par choix" parce qu'ils ont essayé un concours du ministère des finances et ont on a tous fait des choix. Autant je comprends très bien le deuxième post où Caro explique qu'elle ne regrette pas son choix, autant s'exclamer qu'elle est contractuelle "par choix !" me paraît créer des catégories peu c'est un HS, je crains, donc j'arrête, même s'il y a un lien avec la rentrée comme quoi il serait mieux n'avoir jamais tenté un concours plutôt que ne l'avoir pas eu, puisqu'on devient un simple travailleur "par défaut".Dernière édition par valle le Mer 24 Aoû 2022 - 843, édité 3 foisCaroNiveau 9Lisak 40 C'est valable en France métropolitaine ce que tu avances, c'est vrai. Par contre, ce n'est pas le cas pour l' 9Tout à fait d'accord avec toi Valle. Bonne reprise à tous / toutes. Pour ma part, je suis toujours en attente d'une affectation et le stress commence à Lisak40 a écritAprès il y a des exceptions contractuel longue durée, tout à fait capable d'avoir le concours, sans problème de nationalité, sans famille / conjoint qui imposerait de rester en RP -de toutes les façons, vouloir rester en RP n'est généralement pas un problème-, mais je n'ai jamais compris leurs motivations je n'ai pas non plus rencontré 500 contractuels... Certains ne veulent pas subir le système de mutations. Certes, rester en RP est généralement possible, mais quand on est titulaire, on peut être loin de la zone visée et on ne peut pas refuser des postes. Lisak40Fidèle du forumEn effet Caro Je ne connais pas la situation en OM, ni même dans les autres académies. Et pour le coup tu fais partie des contractuels qui ne passent pas le concours pour pouvoir rester avec leur conjoint, ce qui me semble un raison tout à fait normale et compréhensible et de toutes les façons je ne cherche pas à juger, mais à comprendre. Bon courage pour la suite !Jenny En effet, je n'avais pas pensé à cet état de fait, toutefois cela me semble quand même une raison difficile à comprendre car il est très facile d'obtenir Créteil ou Versailles, et si on est motorisé se déplacer dans l'académie n'est à priori jamais trop difficile. Si on est muté à Paris, là encore avec les transports en commun le déplacement n'est pas un problème. C'est justement une des raisons qui me fait rester en RP je ne peux pas conduire médicalement déconseillé. Alors certes il y a même en RP des coins plus difficile à joindre que d'autres, mais à ma connaissance aucun qui soit totalement inaccessible en transports. OU bien je n'ai pas compris ton message ?Dernière édition par Lisak40 le Mer 24 Aoû 2022 - 855, édité 1 foisBaldredFidèle du forumL'état des lieux du recours aux contractuels sur France Info au mieux des candidats repêchés plutôt qu'issus de job dating, au mieux 4 jours de formation ... ou rien, au mieux une affection.... ou pas...J'ai dû manquer l'info c'est quand notre journée de grève ? Certains contractuels veulent Paris intra muros. Dans ma matière, ce n'est pas simple à obtenir, loin de là. Certains disent qu'ils refusent les services partagés... Certains postes très confortables sont bloqués pour les contractuels. Un CDE peut plus facilement garder un contractuel qu'un TZR. Sur les salaires... oui, l'académie où un stagiaire ou nétit sur 3 ne rejoint pas son poste... Sujets similairesWeek-end de rentrée, vendredi après-midi, mois de juin, 2eme jour de pré-rentrée Jean-Michel Zakhartchouk, retraité, invite les enseignants à travailler nouveau pour les AVS et AED les AVS deviennent AESH, et les AED pourront remplacer les et suppressions de postes à la rentrée chiffres primaire et secondaireLa pénurie des enseignants de Math existe-t-elle dans les lycées privés ?Secondaire - Rentrée 2012 280 enseignants recrutés à la rentrée 2012Sauter versPermission de ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum Lorsque la commission mentionnée à l'article L. 146-9 du code de l'action sociale et des familles constate que la scolarisation d'un enfant dans une classe de l'enseignement public ou d'un établissement mentionné à l'article L. 442-1 du présent code requiert une aide individuelle dont elle détermine la quotité horaire, cette aide peut notamment être apportée par un accompagnant des élèves en situation de handicap recruté conformément aux modalités définies à l'article L. cette scolarisation n'implique pas une aide individuelle mais que les besoins de l'élève justifient qu'il bénéficie d'une aide mutualisée, la commission mentionnée à l'article L. 146-9 du code de l'action sociale et des familles en arrête le principe et en précise les activités principales. Cette aide mutualisée est apportée par un accompagnant des élèves en situation de handicap recruté dans les conditions fixées à l'article L. 917-1 du présent individuelle mentionnée au premier alinéa du présent article peut, après accord entre l'autorité de l'Etat compétente en matière d'éducation et la famille de l'élève, lorsque la continuité de l'aide est nécessaire à l'élève en fonction de la nature particulière de son handicap, être assurée par une association ou un groupement d'associations ayant conclu une convention avec l' pôles inclusifs d'accompagnement localisés sont créés dans chaque département. Ils ont pour objet la coordination des moyens d'accompagnement humain au sein des écoles et établissements scolaires de l'enseignement public et de l'enseignement privé sous contrat. Ils constituent des pôles ressources à destination de la communauté éducative ; ils associent à cet effet des professionnels de santé et les gestionnaires des établissements et services médico-sociaux mentionnés aux 2° et 3° du I de l'article L. 312-1 du code de l'action sociale et des familles. Ces dispositifs visent à mieux prendre en compte les besoins éducatifs particuliers de l'élève en situation de handicap en vue du développement de son modalités d'application du présent article, notamment la désignation des personnes chargées de l'aide mentionnée aux deux premiers alinéas et la nature de l'aide, sont déterminées par à l'article 63 de la loi n° 2019-791 du 26 juillet 2019, ces dispositions entrent en vigueur à la rentrée scolaire 2019. Publié le 30 juin 2014par Valérie Liquet Jeunesse, éducation et formation, Social Exit les "AVS" ou "assistants de vie scolaire". Le décret du 27 juin 2014 JO du 29 juin les remplace en créant les accompagnants des élèves en situation de handicap AESH. Comme promis par François Hollande durant sa campagne présidentielle, puis par Jean-Marc Ayrault il y a un an, les AESH bénéficient dorénavant d'un contrat à durée indéterminé CDI, à temps complet ou à temps partiel. Ils sont désormais recrutés, par le recteur d'académie, et "parmi les candidats titulaires d'un diplôme professionnel dans le domaine de l'aide à la personne", alors qu'un niveau bac suffisait jusqu'à présent. Sont toutefois dispensées de diplôme les personnes qui justifient d'une expérience professionnelle de deux années dans le domaine de "l'aide à l'inclusion scolaire des élèves en situation de handicap" ou de "l'accompagnement des étudiants en situation de handicap". Un arrêté, publié le même jour, fixe leur rémunération au minimum au Smic entre le Smic et l'indice brut 400 exactement. Un second arrêté fixe les conditions de leur promotion et de formation, à la suite d'un entretien professionnel passé avec l'inspecteur de l'Education nationale ou le chef d'établissement. "Dès la rentrée 2014, les assistants d'éducation qui occupent la fonction d'auxiliaire de vie scolaire AVS verront progressivement leur emploi transformé en contrat à durée indéterminée", avait annoncé l'été dernier Jean-Marc Ayrault alors Premier ministre voir notre article Auxiliaires de vie scolaire CDI "à terme", et après ? du 27 août 2013, reprenant une promesse de François Hollande faite durant la campagne électorale de 2012. Il était temps que les textes sortent car nombre d'AVS, recrutés à partir de 2006 - en application de la loi Handicap du 11 février 2005 - voyaient leur contrat de six ans arriver à expiration. Vérifié le 04 juillet 2022 - Direction de l'information légale et administrative Premier ministreL'établissement scolaire de votre enfant organise des sorties et des voyages scolaires dans un objectif pédagogique précis. Contrairement aux voyages, les sorties ne comportent pas de nuitée. A quelles conditions votre enfant peut-il y participer ? Encadrement, documents à fournir, participation financière, assurance...voici les règles à respecter. Elles sont différentes selon qu'il s'agisse d'une sortie régulière, occasionnelle ou un voyage scolaire.

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